place

Château de Genillé

Article géolocalisé en FranceArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxChâteau monument historique en Indre-et-LoireMonument historique inscrit en 1951
Page avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePatrimoine du XVe siècle
Genillé château
Genillé château

Le château de Genillé est un ancien logis seigneurial situé sur la commune de Genillé, dans le département d'Indre-et-Loire Il fut construit au XVe siècle par les seigneurs du lieu et agrandi dans les siècles suivants.

Extrait de l'article de Wikipedia Château de Genillé (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Château de Genillé
Rue Adam Fumée, Loches

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Château de GenilléContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 47.184403 ° E 1.095449 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Château de Genillé

Rue Adam Fumée
37460 Loches
Centre-Val de Loire, France
mapOuvrir sur Google Maps

linkWikiData (Q19406875)
linkOpenStreetMap (242853805)

Genillé château
Genillé château
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Genillé
Genillé

Genillé (prononcé [ ʒənije]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire. Habité dès le Néolithique, ce bourg rural de la vallée de l'Indrois fut un important vicus attesté dès l'époque mérovingienne, époque à laquelle on y battait monnaie. L'histoire de la paroisse est marquée par deux personnages, Adam Fumée proche conseiller de Charles VII, Louis XI puis Charles VIII dans la seconde moitié du XVe siècle puis Michel de Marolles au XVIIe siècle, abbé de Villeloin, grand collectionneur, homme de lettres et de salons. Au milieu du XIXe siècle, une grande ferme s'installe à Genillé, mettant en œuvre les techniques de culture les plus modernes et le président Patrice de Mac Mahon y fait une visite en 1877 ; l'exploitation se poursuit, avec des fortunes diverses, jusqu'en 1951. Même si Genillé a connu, comme la très grande majorité des communes rurales de France, une baisse importante de sa population dès la fin du XIXe siècle, son statut de « gros bourg » d'environ 1 500 habitants lui a permis de rester suffisamment attractive pour conserver une activité artisanale et commerciale. Depuis trente-cinq ans, la population augmente à nouveau pour atteindre, en 2014, 1 562 habitants. La commune dispose de réserves foncières pour la construction de logements et de nouvelles entreprises s'y créent, même si les nouveaux habitants travaillent pour la plupart en dehors de la commune, notamment à Loches. La partition du territoire communal est assez comparable à celle des communes voisines : la vallée de l'Indrois sépare d'ouest en est un plateau dont la partie nord est destinée aux activités agricoles tandis que la partie sud est majoritairement couverte par la forêt domaniale de Loches. La biodiversité y fait l'objet de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) et d'un site du réseau Natura 2000.

Chapelle Saint-Jean du Liget
Chapelle Saint-Jean du Liget

La chapelle Saint-Jean du Liget, ou chapelle Saint-Jean-du-Liget ou chapelle du Liget, est une ancienne chapelle située sur la commune de Sennevières, dans le département d'Indre-et-Loire, en France. Elle est probablement construite vers le milieu du XIIe siècle bien qu'à quelques décennies près cette datation soit encore discutée, ce qui entretient l'incertitude sur l'ordre monastique, bénédictin ou cartusien, qui l'a fondée. De même, sa dédicace à saint Jean, pouvant s'appliquer à un autre monument, est contestée. Elle est rattachée à la chartreuse du Liget jusqu'à la Révolution française ; c'est alors que, déjà ruinée, elle est vendue à des propriétaires privés puis à l'État. Ce dernier en entreprend la restauration dans les années 1860 après qu'elle est classée au titre des monuments historiques en 1862. La chapelle est la propriété de la commune de Sennevières depuis 2007. Son plan initial assez peu courant, rotonde précédée d'une nef, la rapproche de l'église du Saint-Sépulcre de Jérusalem telle que les premiers croisés la découvrent. Les parois intérieures de la rotonde de cette chapelle — seule partie conservée du monument qui comportait également une nef — étaient couvertes de fresques polychromes romanes qui représentent, pour celles qui subsistent, des figures de saints et des grandes scènes bibliques du cycle marial. Ce décor compte parmi les ensembles de fresques médiévales les mieux conservés d'Indre-et-Loire, même s'il tend à se dégrader ; c'est pour le préserver que la chapelle est fermée au public, sauf occasions exceptionnelles.

Saint-Quentin-sur-Indrois
Saint-Quentin-sur-Indrois

Saint-Quentin-sur-Indrois (prononcé [sɛ̃ kɑ̃.tɛ̃ sy.ʁ‿ɛ̃d.ʁwa]) est une commune française du département d'Indre-et-Loire (région Centre-Val de Loire et ancienne province de Touraine). Dès le Néolithique, l'homme s'installe sur le plateau fertile de la Champeigne tourangelle. Cette occupation est pérenne au fil des millénaires, attestée par les vestiges de mégalithes, de tumulus, de voies antiques et de sarcophages mérovingiens. L'histoire médiévale de la paroisse, dont le nom apparaît dans les textes vers la fin du XIIe siècle, est marquée par les figures de la bienheureuse Jeanne-Marie de Maillé qui y naquit et d'Adam Fumée, médecin et proche conseiller de plusieurs rois de France, qui se rendit acquéreur du château des Roches. Saint-Quentin fut également le théâtre d'une des scènes d'une tentative d'enlèvement politique du sénateur Clément de Ris à l'instigation de Fouché. Partagée entre le plateau de la Champeigne au nord, la forêt domaniale de Loches au sud et parcourue dans sa partie médiane par la vallée de l'Indrois, Saint-Quentin offre une grande variété de paysages et d'habitats naturels qui hébergent une flore et une faune très diversifiées. Son territoire communal est d'ailleurs intégré à un site du réseau Natura 2000 et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF). La courbe démographique de Saint-Quentin-sur-Indrois présente une physionomie très comparable à celle d'autres communes rurales du même département. Après un exode rural important entre les années 1880 et la fin des années 1960, la commune regagne peu à peu une part de sa population depuis le dernier quart du XXe siècle et compte 511 habitants en 2014. Pourtant ce redressement ne se traduit pas par une redynamisation de l'économie locale, mais grâce à l'autoroute A85 : les habitants de Saint-Quentin-sur-Indrois travaillent en très grande majorité en dehors de la commune, sur les pôles d'emploi attractifs constitués par Amboise et Loches, que dessert la même route passant par Saint-Quentin-sur-Indrois. L'achat de l'immobilier ancien se voit rénover et des terrains seront prochainement à vendre, le PLU de la commune ayant été finalisé en 2017.