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Villers-devant-Orval

Abbaye d'OrvalArticle géolocalisé en BelgiqueArticle géolocalisé sur TerreArticle manquant de références/Liste complèteArticle manquant de références depuis juin 2020
Article utilisant une InfoboxCommune avant fusion dans l'arrondissement de VirtonFlorenvilleFrontière entre la Belgique et la FrancePage avec des cartesVillage en Wallonie
Villers devant Orval 050615 (1)
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Villers-devant-Orval [viled(ə)vɑ̃tɔʀval] (en gaumais Viyé-dvant-Ôrvå) est un village de la Gaume, dans la Province de Luxembourg, en Belgique. Administrativement il fait partie de la ville de Florenville située en Région wallonne. C'était une commune à part entière avant la fusion des communes de 1977.

Extrait de l'article de Wikipedia Villers-devant-Orval (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Villers-devant-Orval
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N 49.62 ° E 5.33 °
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Adresse

Rue Coupée 3
6823
Luxembourg, Belgique
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Abbaye Notre-Dame d'Orval
Abbaye Notre-Dame d'Orval

L'abbaye Notre-Dame d'Orval (ou abbaye d'Orval) est un monastère cistercien situé en Belgique, à Villers-devant-Orval, dans la province de Luxembourg. Fondée par des bénédictins au XIe siècle auprès d'une source dans un vallon isolé dans la forêt, l'abbaye passe à l'ordre cistercien en 1131 avec l'arrivée de moines de l'abbaye de Trois-Fontaines. Durant quatre siècles, elle vit l'existence effacée d'un monastère perdu dans la solitude de la grande forêt ardennaise ; située à la frontière entre le Saint-Empire et le royaume de France, elle subit les conséquences des guerres et conflits du XVe au XVIIe siècle. Participant au mouvement de réforme de l'étroite observance dans l'ordre cistercien, elle connaît aux XVIIe et XVIIIe siècles une période de grand développement spirituel et économique, malgré une crise liée au développement du jansénisme en son sein au début du XVIIIe siècle. À la fin du XVIIIe siècle, lors de l'invasion des troupes révolutionnaires françaises, les bâtiments, anciens et nouveaux, sont détruits et incendiés après le départ forcé des moines. En 1795, la communauté est dispersée et les biens de l'abbaye vendus comme « biens nationaux ». En 1927, la présence monastique est relevée par un groupe de cisterciens-trappistes venu de l'abbaye Notre-Dame de Sept-Fons, qui fonde là un prieuré et entame la reconstruction sous la direction de Marie-Albert van der Cruyssen, moine belge venu de l'abbaye de La Trappe. En 1935, le monastère retrouve son statut d'abbaye autonome.