place

Parc éolien de la Plaine d'Escrebieux

Article contenant un lien mortArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox CentraleArticle utilisant une InfoboxInfrastructure énergétique mise en service en 2014
Page avec des cartesParc éolien en FranceÉnergie dans le département du NordÉnergie éolienne dans les Hauts-de-France

Le parc éolien de la Plaine d'Escrebieux, également surnommé parc éolien de Lauwin-Planque, est un ensemble de quatre éoliennes hautes de 150 mètres érigées sur le territoire de Lauwin-Planque, dans le Nord, en France. Initialement prévu pour être agrandi, un autre parc, celui de l'Escrebieux est finalement construit de 2020 à 2021 à l'est.

Extrait de l'article de Wikipedia Parc éolien de la Plaine d'Escrebieux (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs).

Parc éolien de la Plaine d'Escrebieux
Chemin de Dieu, Douai

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Parc éolien de la Plaine d'EscrebieuxContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.395 ° E 3.02083 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Amazon LIL1

Chemin de Dieu
59553 Douai
Hauts-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Partager l'expérience

Lieux à proximité

Fosse no 7 - 7 bis des mines de l'Escarpelle
Fosse no 7 - 7 bis des mines de l'Escarpelle

La fosse no 7 - 7 bis de la Compagnie des mines de l'Escarpelle est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Courcelles-lès-Lens. La fosse, dite no 1, commencée en octobre 1861 n'a commencé à produire qu'en 1877, non pas à cause de venues d'eau, mais à cause de divisions entre les personnes et d'actions juridiques. La Société du Midi de l'Escarpelle ouvre la fosse, mais M. Lebreton et son conseil d'administration se fâchent, le premier nomme un nouveau conseil d'administration, l'ancien porte l'affaire devant les tribunaux et obtient raison. M. Lebreton fonde donc la Société du Couchant d'Aniche en 1863, et entreprend une fosse no 2 quelques centaines de mètres plus au sud en 1866, qu'il abandonne en 1867 quand la Société du Midi de l'Escarpelle fait faillite, et que la fosse no 1 est jugée mieux avancée. Des assemblées générales ont lieu en 1868 contre M. Lebreton, qui s'avère être un mauvais gestionnaire. La société est mise en faillite. En 1869, les actionnaires de la Société du Couchant d'Aniche fondent la Société de Courcelles-lez-Lens. Les travaux de la fosse no 1 progressent enfin. En 1875, Abel Lebreton intente un procès contre la société, il souhaite conserver ses avantages d'administrateur. La Cour de Douai, sur appel de la Société, rend le 13 juillet 1877 un arrêt qui confirme la révocation du sieur Lebreton, et annule, comme résultant d'un apport purement fictif, sa prétention à 7 % des bénéfices. Le 18 septembre 1877, un décret accorde à la Société de Courcelles-lez-Lens une concession de 440 hectares, c'est également en 1877 que la fosse commence à produire, seize ans après le début du fonçage. Mais la Société fait elle aussi faillite, et la fosse est rachetée en 1880 par la Compagnie des mines de l'Escarpelle qui en fait sa fosse no 7. Elle la raccorde à son réseau ferroviaire, et commence en 1902 le puits no 7 bis qui entre en fonction à partir de 1906. En parallèle, de vastes cités sont construites, et les terrils nos 128 et 145 s'élèvent. La fosse est reconstruite à la suite de la Première Guerre mondiale, et continue l'extraction. Après la Nationalisation, elle est en 1948 concentrée sur la fosse no 8, et assure l'aérage jusque 1966, date à laquelle les puits sont remblayés. Les installations de surface sont alors détruites, bien que quelques bâtiments subsistent encore au XXIe siècle. Les deux terrils coniques ont été intégralement exploités, et une zone industrielle y a pris place. Les cités ont été rénovées.

Fosse no 8 des mines de l'Escarpelle
Fosse no 8 des mines de l'Escarpelle

La fosse no 8 de la Compagnie des mines de l'Escarpelle, dite Port-Arthur, est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Auby. Le fonçage du puits débute en 1906, pour une mise en service en 1910. À cette époque, la Compagnie se met à ouvrir de nouveaux puits, après près de vingt ans sans nouvelles fosses, un puits no 7 bis est rajouté à la fosse no 7, rachetée à une société en faillite, et une fosse no 9 est ouverte pour améliorer l'aérage des fosses nos 1 et 3. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, elle est reconstruite avec des installations assez similaires. Un terril conique no 142 s'édifie au sud de la fosse, et des cités s'établissent au nord et au sud-est de la fosse. Après la Nationalisation, la fosse no 8 reprend l'extraction de la fosse no 7 - 7 bis en 1948. La fosse est destinée à devenir siège de concentration. Un puits no 8 bis devait être ouvert, mais cette solution a été abandonnée : la fosse no 9 est devenue le siège de concentration, et la fosse no 8 a été modernisée. Un chevalement à molettes superposées a été mis en place en 1958. Mais la fosse cesse d’extraire en 1968, date à laquelle les principales installations sont détruites. Quelques bâtiments annexes ont été conservés, et sont toujours visibles au XXIe siècle. Le terril a été exploité, il n'en reste plus que la base. En revanche, les cités ont été conservées, et ont toutes été rénovées. La cité pavillonnaire de la Justice et son dispensaire de la Société de Secours Minière, ainsi que la cité-jardin du Moulin, ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.

Usine Renault de Douai
Usine Renault de Douai

L'usine Ampère de Douai, ou usine Georges Besse, est un site du constructeur français de véhicules électriques Ampère, filiale du groupe Renault. Sa construction commence en 1970, assemble son premier véhicule, une Renault 5 en 1974. La Renault 14 suit en 1976. Elle se situe dans le bassin industriel des Hauts-de-France, qui représente la première région automobile de France. Le site s'étend sur 230 hectares dont 45 hectares de bâtiments couverts. L'usine de Douai était spécialisée dans le montage des Renault de moyenne gamme, cependant des investissements à hauteur de 420 millions d'euros ont été entrepris pour accueillir Espace et Talisman, ainsi que la 4ème génération de Scénic. La marque au Losange a fait de Douai une de ses usines phares, fabriquant aussi bien du milieu que du haut de gamme. L'usine s'est centrée à partir de 1996 sur la fabrication de Scénic, véritable succès commercial. En près de 50 ans, l'usine a produit plus de dix millions véhicules dont cinq millions de Scénic depuis 1996. Le site compte actuellement près de 3 300 salariés en 2022. Le 14 juin 2018, Renault a annoncé la transformation de l'usine de Douai pour accueillir la plateforme électrique de l'Alliance Renault Nissan et Mitsubishi. À partir de 2021, l'usine produit les modèles électriques Ampère du groupe Renault. L'usine Renault Ampère Douai produit actuellement : Renault Megane E-Tech Electric Renault Scénic E-Tech Electric Renault 5 E-Tech Electric On trouve une histoire en bref de cette usine en référence ci-après.

Fosse no 4 - 4 bis des mines de Dourges
Fosse no 4 - 4 bis des mines de Dourges

La fosse no 4 - 4 bis dite Paul-Frédéric Hély d'Oissel de la Compagnie des mines de Dourges est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Noyelles-Godault. Le puits no 4 est commencé en 1867, mais la guerre de 1870 retarde les travaux qui ne sont repris qu'en 1872. L'extraction ne commence qu'en 1877. Des corons sont bâtis près de la fosse. Un terril no 102, 4 Est de Dourges, est édifié à l'est du carreau de fosse. Il existe également un terril cavalier no 209 Cavalier de Noyelles-Godault. Le puits no 4 bis est ajouté en 1906. La fosse est détruite pendant la Première Guerre mondiale. Lorsqu'elle est reconstruite, le puits no 4 est doté d'installations modestes, alors que le puits no 4 devient le puits principal. Des cités remarquables sont construites près de la fosse. La Compagnie des mines de Dourges est nationalisée en 1946, et la fosse no 4 - 4 bis intègre le Groupe d'Hénin-Liétard. Elle est concentrée en 1957 sur la fosse no 2 - 2 bis et cesse d'extraire, le puits no 4 est utilisé pour la remonte des terres jusqu'à son remblaiement en 1962, le puits no 4 bis est remblayé en 1969, et son chevalement est détruit deux ans plus tard. Le terril no 102, haut de 80 mètres, est en majeure partie exploité. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 4 et 4 bis. Il subsiste plusieurs bâtiments dont le logement du garde, et la salle des machines du puits no 4 bis. Les cités ont été rénovées. Au début des années 2010, une partie du terril est urbanisée, tandis que le reste est un espace vert. La cité-jardin Crombez a été classée le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.