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Plaza Miserere

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Jacarandas at Plaza Miserere
Jacarandas at Plaza Miserere

La Plaza Miserere est une des principales places de Buenos Aires, capitale de l'Argentine. Elle se trouve au cœur du quartier de Balvanera. Elle doit son nom à un vieil habitant appelé Antonio González Varela, surnommé "miserere" pour sa miséricorde et sa bonhommie. Mais dans la pratique on l'appelle bien plus fréquemment Plaza Once, car sur son flanc se trouve la gare Estación Once de septiembre du Chemin de fer Domingo Faustino Sarmiento.

Extrait de l'article de Wikipedia Plaza Miserere (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Plaza Miserere
Avenida Rivadavia, Buenos Aires Balvanera

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N -34.60972222 ° E -58.40744444 °
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Adresse

Avenida Rivadavia
C1203AAN Buenos Aires, Balvanera
Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine
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Jacarandas at Plaza Miserere
Jacarandas at Plaza Miserere
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Lieux à proximité

Attentat de l'Amia

L'attentat de l'Amia est une attaque à la voiture piégée perpétrée le 18 juillet 1994 à Buenos Aires, la capitale de l'Argentine, et visant un bâtiment abritant plusieurs associations juives, dont l'Association mutuelle israélite argentine (Amia). Avec un bilan de 85 morts et 230 blessés, c'est l'attentat le plus meurtrier de l'histoire du pays, mais il n'a jamais été revendiqué. L'enquête, toujours en cours, a souffert de nombreuses irrégularités et a conduit à l'inculpation de plusieurs policiers argentins. En 2005, le juge fédéral Juan José Galeano, chargé de l'affaire, est démis de ses fonctions à la suite de « graves irrégularités ». En 2006, le nouveau procureur chargé du dossier, Alberto Nisman, accuse formellement le gouvernement iranien d'être le commanditaire de l'attentat, et le Hezbollah d'en être l'auteur. Selon lui, l'Argentine aurait été visée à la suite de sa décision de suspendre son transfert de technologies nucléaires vers l'Iran. Un mandat d'arrêt international est alors réclamé à l'encontre de plusieurs hauts responsables iraniens, dont l’ancien président Hachemi Rafsandjani. Le procureur Alberto Nisman accuse également l'ancien président argentin Carlos Menem et ses collaborateurs de l'époque d'avoir subtilisé des preuves afin de mettre hors de cause un entrepreneur argentino-syrien soupçonné d'avoir participé à la planification de l'opération. Alberto Nisman est retrouvé mort en janvier 2015 à son domicile dans des conditions mystérieuses. Quatre jours avant son décès, il avait incriminé l'ancienne présidente argentine Cristina Kirchner, estimant qu'elle avait favorisé l'impunité de suspects iraniens. Dans son dossier d'accusation, le magistrat n'avait finalement pas inclus cette requête. Des membres des services de renseignement argentins semblent avoir manipulé Alberto Nisman afin de le pousser à retenir la piste iranienne, malgré le manque de preuves. Un agent du FBI américain qui a participé à l’enquête reconnait en 2020 que tout a été fait pour arriver à « une conclusion décidée à l’avance », qui arrangeait les États-Unis et Israël dans un contexte de fortes tensions avec l'Iran.