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Avenida Santa Fe

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Buenos Aires Avenida Santa Fe entre Maipú y Esmeralda
Buenos Aires Avenida Santa Fe entre Maipú y Esmeralda

L'Avenida Santa Fe est une importante avenue de Buenos Aires, capitale de l'Argentine. Cette avenue constitue l'axe essentiel du quartier imaginaire Barrio Norte, entre Retiro et Recoleta. Considérée comme un des principaux pôles de commerce et de promenade de la ville, l'avenue a été surnommée "Avenue de la Mode", en raison du grand nombre de boutiques de vêtements qui y ont pignon sur rue. D'orientation générale est-ouest, elle naît dans le quartier de Retiro, au niveau de la Plaza General San Martín, plus précisément à son carrefour sud entre les rues Calle Marcelo Torcuato de Alvear et Calle Florida, là où cette dernière cesse d'être piétonnière. Dans son parcours vers l'ouest, elle traverse les quartiers de Retiro puis de Recoleta. Elle traverse ensuite le quartier de Palermo et longe le côté sud du Jardin botanique. Juste après, elle forme la Plaza Italia, centre du barrio (quartier) de Palermo, où débute le Zoo de Buenos Aires. Après quoi elle se poursuit pour se terminer au niveau de la gare "Ministro Carranza", où elle est prolongée par l' Avenida Cabildo.

Extrait de l'article de Wikipedia Avenida Santa Fe (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Avenida Santa Fe
Avenida Santa Fe, Buenos Aires Recoleta

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N -34.59222 ° E -58.40639 °
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Adresse

Avenida Santa Fe 2837
C1425BGD Buenos Aires, Recoleta
Ciudad Autónoma de Buenos Aires, Argentine
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Buenos Aires Avenida Santa Fe entre Maipú y Esmeralda
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Lieux à proximité

Attentat de l'Amia

L'attentat de l'Amia est une attaque à la voiture piégée perpétrée le 18 juillet 1994 à Buenos Aires, la capitale de l'Argentine, et visant un bâtiment abritant plusieurs associations juives, dont l'Association mutuelle israélite argentine (Amia). Avec un bilan de 85 morts et 230 blessés, c'est l'attentat le plus meurtrier de l'histoire du pays, mais il n'a jamais été revendiqué. L'enquête, toujours en cours, a souffert de nombreuses irrégularités et a conduit à l'inculpation de plusieurs policiers argentins. En 2005, le juge fédéral Juan José Galeano, chargé de l'affaire, est démis de ses fonctions à la suite de « graves irrégularités ». En 2006, le nouveau procureur chargé du dossier, Alberto Nisman, accuse formellement le gouvernement iranien d'être le commanditaire de l'attentat, et le Hezbollah d'en être l'auteur. Selon lui, l'Argentine aurait été visée à la suite de sa décision de suspendre son transfert de technologies nucléaires vers l'Iran. Un mandat d'arrêt international est alors réclamé à l'encontre de plusieurs hauts responsables iraniens, dont l’ancien président Hachemi Rafsandjani. Le procureur Alberto Nisman accuse également l'ancien président argentin Carlos Menem et ses collaborateurs de l'époque d'avoir subtilisé des preuves afin de mettre hors de cause un entrepreneur argentino-syrien soupçonné d'avoir participé à la planification de l'opération. Alberto Nisman est retrouvé mort en janvier 2015 à son domicile dans des conditions mystérieuses. Quatre jours avant son décès, il avait incriminé l'ancienne présidente argentine Cristina Kirchner, estimant qu'elle avait favorisé l'impunité de suspects iraniens. Dans son dossier d'accusation, le magistrat n'avait finalement pas inclus cette requête. Des membres des services de renseignement argentins semblent avoir manipulé Alberto Nisman afin de le pousser à retenir la piste iranienne, malgré le manque de preuves. Un agent du FBI américain qui a participé à l’enquête reconnait en 2020 que tout a été fait pour arriver à « une conclusion décidée à l’avance », qui arrangeait les États-Unis et Israël dans un contexte de fortes tensions avec l'Iran.