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Église Saint-Vaast de Loison-sous-Lens

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Église dédiée à saint Vaast
Eglise saint vaast loison sous lens 2008 (1)
Eglise saint vaast loison sous lens 2008 (1)

L'église Saint-Vaast est une église catholique de la ville de Loison-sous-Lens dans le département français du Pas-de-Calais. Dédiée à saint Vaast, elle dépend du diocèse d'Arras et de la paroisse Bienheureux-Marcel-Callo-en-Mines,.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Vaast de Loison-sous-Lens (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Vaast de Loison-sous-Lens
Rue Diderot, Lens

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Rue Diderot

Rue Diderot
62218 Lens
Hauts-de-France, France
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Eglise saint vaast loison sous lens 2008 (1)
Eglise saint vaast loison sous lens 2008 (1)
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Lieux à proximité

Fosse no 5 - 12 des mines de Courrières
Fosse no 5 - 12 des mines de Courrières

La fosse no 5 - 12 dite Constant Mathieu de la Compagnie des mines de Courrières est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Sallaumines. Les travaux commencent en juin 1872, mais le premier puits est abandonné à l'état d'avaleresse à la profondeur de 24 mètres. Un nouveau puits no 5 est entrepris à cinquante mètres à l'est, son passage à travers le niveau d'eau est particulièrement difficile. La fosse entre en production le 15 mai 1877. Un puits no 12 est ajouté cinquante mètres à l'est en 1905. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. Des cités sont édifiées à proximité de la fosse, ainsi qu'un terril no 96. La Compagnie des mines de Courrières est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe d'Hénin-Liétard. La fosse est modernisée à partir de 1954 : le puits no 12 est ravalé à 483 mètres et est doté de nouveaux ventilateurs alors que le puits no 5 est équipé pour recevoir des berlines de 3 000 litres. La fosse no 13 - 18 est concentrée sur la fosse no 5 - 12 en 1957. Cette dernière l'est sur la fosse no 3 - 15 en 1969, date à laquelle elle cesse d'extraire pour assurer uniquement le service et l'aérage. Elle ferme en même temps que la fosse no 4 - 5 des mines de Drocourt en 1988. Elle assure encore la récupération du matériel et le démantèlement des installations du fond jusqu'en novembre 1988, les puits sont remblayés le mois suivant. Le terril est intégralement exploité, avant la fermeture de la fosse. Les chevalements sont détruits en 1990. Une zone industrielle a pris place sur le site du terril, et les cités établies au nord de la fosse ont été détruites, celles situées au sud ont été rénovées. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 5 et 12. Les bâtiments subsistants sont les bains-douches, la lampisterie, le magasin, la salle de paye, et le logement du garde.

Fosse no 21 - 22 des mines de Courrières
Fosse no 21 - 22 des mines de Courrières

La fosse no 21 - 22 dite Hector Coppin de la Compagnie des mines de Courrières est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Harnes. Les puits nos 21 et 22 sont respectivement commencés en 1910 et 1911, et la fosse commence à extraire en 1914. Après la Première Guerre mondiale qui a entraîné la destruction de la fosse, un véritable complexe industriel est construit aux abords de la fosse. Des cités, des écoles et une église sont construits au sud du carreau de fosse. Un terril cavalier no 207 est édifié en directeur de la fosse no 24 - 25, et un terril conique no 93 est édifié au nord-est de la fosse. La Compagnie des mines de Courrières est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe d'Hénin-Liétard. Au début des années 1950, les installations de la fosse sont modernisées, elle peut notamment accueillir des berlines de 3 000 litres. La cokerie est modernisée en 1955, alors que le criblage et le lavoir ferment en 1957 et 1958, lorsque les produits sont expédiés au nouveau lavoir de Fouquières-lez-Lens. Le dernier défournement de la cokerie a lieu en 1972, et elle ferme l'année suivante. La fosse, menacée de fermeture depuis 1971, cesse d'extraire en 1977. Les deux puits sont remblayés en 1978. Le chevalement du puits no 21 est détruit en 1979, celui du puits no 22 l'est l'année suivante. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 21 et 22. Les seuls vestiges de la fosse sont les bureaux, le logement du gardien, et les deux châteaux d'eau. Les terrils nos 93 et 207 ont été préservés. Les cités ont été en grande partie rénovées, bien que quelques rues ont été détruites. Le terril no 93, le cavalier minier, la cité pavillonnaire Bellevue ancienne, l'église du Sacré-Cœur et l'école, ont été classés le 30 juin 2012 au patrimoine mondial de l'Unesco.