Passage des Abbesses

Le jardin des Abbesses est un espace vert du le 18e arrondissement de Paris.

Le Mur des je t'aime est une œuvre murale d'environ 40 m2 composée de 612 carreaux de lave émaillée reproduisant 311 « je t'aime » en 250 langues. Des « je t’aime » dans toutes les langues courantes, mais également dans des dialectes rares ou oubliés comme le navajo, l'inuit, le bambara ou l’espéranto. Réalisée par Frédéric Baron, Claire Kito et Daniel Boulogne, elle occupe un mur du square Jehan-Rictus situé place des Abbesses à Montmartre (Paris) et est accessible tous les jours.

La rue Ravignan située dans le 18e arrondissement de Paris, en France est l'une des plus anciennes de la butte Montmartre.

Le square Jehan-Rictus est un espace vert du 18e arrondissement de Paris.

La rue Androuet est une voie du 18e arrondissement de Paris, en France.

La place des Abbesses est située sur la butte Montmartre, dans le quartier de Clignancourt du 18e arrondissement de Paris.

Abbesses est une station de la ligne 12 du métro de Paris, située dans le 18e arrondissement de Paris.

La place Émile-Goudeau, autrefois « place Ravignan », est une place du 18e arrondissement de Paris (France) dans le quartier de Montmartre.

La rue Durantin est une rue du 18e arrondissement de Paris.

L’église Saint-Jean de Montmartre, également appelée église Saint-Jean l'Évangéliste, est une église paroissiale catholique de Montmartre située au 19, rue des Abbesses, dans le 18e arrondissement de Paris. L'édifice est accessible par la station de métro Abbesses. L'église a été inscrite au titre des monuments historiques le 15 mars 1966, puis classée en totalité par arrêté du 9 septembre 2014.

La rue Garreau est une voie du 18e arrondissement de Paris, en France.

Le Bateau-Lavoir est une cité d'artistes située dans le 18e arrondissement de Paris (France), au 13 de la place Émile-Goudeau. Établie sur la butte Montmartre, dans le quartier de Clignancourt, elle est connue pour avoir été depuis 1904 un lieu de résidence, de réunion et de création de nombreux artistes peintres et sculpteurs français et étrangers, mais aussi de gens de lettres, de gens de théâtre et de marchands d'art. Un incendie l'ayant gravement endommagée en mai 1970 (il n'en reste alors que la façade), la cité est entièrement reconstruite à l’identique en 1978, mais cette fois en béton. Elle comporte toujours sur sa façade arrière, visibles depuis le jardin Louise-Weber-dite-La-Goulue situé rue Burq, vingt-cinq ateliers d'artistes vitrés qui contribuent à maintenir la notoriété du lieu.