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Plouzané

Aire d'attraction de BrestArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplèteArticle contenant un lien mort
Article de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxCommune dans le FinistèreCommune fondée en 1790Commune signataire de la charte Ya d'ar BrezhonegPage avec des cartesPlouzanéUnité urbaine de Brest
Phare du minou
Phare du minou

Plouzané (/plu.za.ne/) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.

Extrait de l'article de Wikipedia Plouzané (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Plouzané
Route de Saint-Renan, Brest

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.38197 ° E -4.62138 °
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Adresse

Église Saint-Sané

Route de Saint-Renan
29280 Brest
Bretagne, France
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Phare du minou
Phare du minou
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Lieux à proximité

Phare du Petit Minou
Phare du Petit Minou

Le phare du Petit Minou indique aux bateaux désirant se rendre à Brest, la route à suivre pour entrer dans la rade. Il forme un alignement avec le phare du Portzic. Il comporte également un secteur rouge qui signale le plateau des Fillettes, l'une des roches immergées du goulet de Brest. Pour parer ce danger, certains marins utilisent ce moyen mnémotechnique : « Le Minou rougit quand il couvre les Fillettes. » Il se trouve en avant du fort du Petit Minou, sur la commune de Plouzané. Haut de 26 mètres, il se trouve à 34 mètres au-dessus du niveau de la mer. Allumé en 1848 il est automatisé depuis 1989 et commandé depuis Brest. Son nom viendrait de min (pointe, en breton), au pluriel. Caractéristiques : Feu principal blanc et rouge à 2 éclats toutes les 6 secondes. Portée 19 milles marins dans le blanc et 15 milles marins dans le rouge.Feu auxiliaire : Alignement avec le phare du Portzic. Portée 23 milles marins. À côté du phare se trouve l'ancienne tour du sémaphore de la marine nationale ; il a été déplacé à la pointe du Portzic en 1984. La plage du Minou, située à proximité, a été le lieu d'aboutissement, en 1869, de l'un des premiers câbles télégraphiques reliant l'Europe aux États-Unis (provenant de Brest, le câble était enterré le long de la route de Brest au Conquet). Cette plage ne se découvre qu'à marée basse et son sable a longtemps été utilisé pour amender les sols de la commune. Peu propice à la baignade, cette plage est surtout fréquentée par les surfeurs et les pratiquants du bodyboard. Depuis 2021, le phare est ouvert au public pendant la saison estivale.

Institut polaire français Paul-Émile-Victor
Institut polaire français Paul-Émile-Victor

L’Institut polaire français Paul-Émile-Victor (IPEV) est un organisme public chargé de la mise en œuvre de la recherche française dans les régions polaires. Il poursuit la mission lancée en 1947 par Paul-Émile Victor avec les Expéditions polaires françaises. Depuis son siège à Brest, les équipes de l’Institut polaire, une quarantaine de personnes permanentes accompagnées chaque année par plus d'une centaine de personnes recrutées pour les campagnes d'été et les hivernages, gèrent les moyens nécessaires au déploiement des projets scientifiques sur les terrains polaires, principalement dans les six stations scientifiques françaises déployées dans ces régions : En Arctique, la station franco-allemande AWIPEV à Ny-Ålesund, sur l'île du Spitzberg, incluant le bâtiment Charles Rabot et la station Jean Corbel, En Antarctique, la station Dumont-d'Urville sur l'île des Pétrels, en terre Adélie, et la station Concordia sur le plateau Antarctique, dont la responsabilité est partagée avec l'Italie. Dans les îles Subantarctiques, dans les îles Kerguelen, Crozet, Amsterdam et St PaulPour assurer la logistique française en Antarctique, l'Institut polaire français utilisait le navire polaire l’Astrolabe, le 1er du nom. Aujourd'hui, en partenariat avec les TAAF (Terres australes et antarctiques françaises) et la Marine nationale, l'Institut polaire français dessert l'Antarctique grâce à l'Astrolabe, le 2ème du nom, depuis 2017. Enfin pour assurer le transport de personnels ainsi que le transport de fret sur les îles australes, l'Institut polaire français s'appuie sur les TAAF et leur navire océanographique Marion Dufresne 2, utilisé 120 jours dans l'année pour ravitailler les districts subantarctiques et utilisé par l'Ifremer le reste de l'année.