place

Fort du Mengant

Article contenant un lien mortArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant une InfoboxFort en FranceFortification de Vauban
Page avec des cartesPlouzanéRade de Brest
Fort du Mengant3
Fort du Mengant3

Le fort du Mengant (écrit aussi Mingant) ou fort du Léon est situé sur la commune de Plouzané (Bretagne, France) et fait partie du dispositif de défense du goulet de Brest. Ce fort comprend une batterie haute (58 m au-dessus du niveau de la mer) où se trouvait une tour d'artillerie aujourd'hui détruite, et une batterie basse en demi-cercle en bas de falaise où subsistent deux petites poudrières. La "roche Mengant" est une écueil dangereux situé en plein milieu du goulet de Brest responsable de plusieurs naufrages dont celui du Républicain en 1794 et échouages (par exemple celui du cuirassé Charles Martel en 1897).

Extrait de l'article de Wikipedia Fort du Mengant (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Fort du Mengant
Route du Mengant, Brest

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Fort du MengantContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.347222 ° E -4.587778 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Fort du Mengant

Route du Mengant
29280 Brest
Bretagne, France
mapOuvrir sur Google Maps

linkWikiData (Q3078355)
linkOpenStreetMap (22815684)

Fort du Mengant3
Fort du Mengant3
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Phare du Petit Minou
Phare du Petit Minou

Le phare du Petit Minou indique aux bateaux désirant se rendre à Brest, la route à suivre pour entrer dans la rade. Il forme un alignement avec le phare du Portzic. Il comporte également un secteur rouge qui signale le plateau des Fillettes, l'une des roches immergées du goulet de Brest. Pour parer ce danger, certains marins utilisent ce moyen mnémotechnique : « Le Minou rougit quand il couvre les Fillettes. » Il se trouve en avant du fort du Petit Minou, sur la commune de Plouzané. Haut de 26 mètres, il se trouve à 34 mètres au-dessus du niveau de la mer. Allumé en 1848 il est automatisé depuis 1989 et commandé depuis Brest. Son nom viendrait de min (pointe, en breton), au pluriel. Caractéristiques : Feu principal blanc et rouge à 2 éclats toutes les 6 secondes. Portée 19 milles marins dans le blanc et 15 milles marins dans le rouge.Feu auxiliaire : Alignement avec le phare du Portzic. Portée 23 milles marins. À côté du phare se trouve l'ancienne tour du sémaphore de la marine nationale ; il a été déplacé à la pointe du Portzic en 1984. La plage du Minou, située à proximité, a été le lieu d'aboutissement, en 1869, de l'un des premiers câbles télégraphiques reliant l'Europe aux États-Unis (provenant de Brest, le câble était enterré le long de la route de Brest au Conquet). Cette plage ne se découvre qu'à marée basse et son sable a longtemps été utilisé pour amender les sols de la commune. Peu propice à la baignade, cette plage est surtout fréquentée par les surfeurs et les pratiquants du bodyboard. Depuis 2021, le phare est ouvert au public pendant la saison estivale.

Institut polaire français Paul-Émile-Victor
Institut polaire français Paul-Émile-Victor

L’Institut polaire français Paul-Émile-Victor (IPEV) est un organisme public chargé de la mise en œuvre de la recherche française dans les régions polaires. Il poursuit la mission lancée en 1947 par Paul-Émile Victor avec les Expéditions polaires françaises. Depuis son siège à Brest, les équipes de l’Institut polaire, une quarantaine de personnes permanentes accompagnées chaque année par plus d'une centaine de personnes recrutées pour les campagnes d'été et les hivernages, gèrent les moyens nécessaires au déploiement des projets scientifiques sur les terrains polaires, principalement dans les six stations scientifiques françaises déployées dans ces régions : En Arctique, la station franco-allemande AWIPEV à Ny-Ålesund, sur l'île du Spitzberg, incluant le bâtiment Charles Rabot et la station Jean Corbel, En Antarctique, la station Dumont-d'Urville sur l'île des Pétrels, en terre Adélie, et la station Concordia sur le plateau Antarctique, dont la responsabilité est partagée avec l'Italie. Dans les îles Subantarctiques, dans les îles Kerguelen, Crozet, Amsterdam et St PaulPour assurer la logistique française en Antarctique, l'Institut polaire français utilisait le navire polaire l’Astrolabe, le 1er du nom. Aujourd'hui, en partenariat avec les TAAF (Terres australes et antarctiques françaises) et la Marine nationale, l'Institut polaire français dessert l'Antarctique grâce à l'Astrolabe, le 2ème du nom, depuis 2017. Enfin pour assurer le transport de personnels ainsi que le transport de fret sur les îles australes, l'Institut polaire français s'appuie sur les TAAF et leur navire océanographique Marion Dufresne 2, utilisé 120 jours dans l'année pour ravitailler les districts subantarctiques et utilisé par l'Ifremer le reste de l'année.