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Congrès international des mathématiciens de 1998

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ICM1998
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Le Congrès international des mathématiciens de 1998 (en abrégé ICM 1998) était le vingt-troisième Congrès international des mathématiciens qui s'est tenu du 18 au 27 août 1998[Où ?]. Le Congrès a été suivi par Tom Lehrer, musicien et mathématicien, où il a interprété la chanson That's Mathematics!, célébrant la preuve du dernier théorème de Fermat. C'était pour célébrer la preuve d'Andrew Wiles, bien qu'elle n'ait pas été bien comprise par tous les mathématiciens présents. Andrew Wiles n'a pas assisté à cette conférence, bien qu'il ait participé au Heidelberg Laureate Forum[incompréhensible].

Extrait de l'article de Wikipedia Congrès international des mathématiciens de 1998 (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Congrès international des mathématiciens de 1998
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ICM1998
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Crise de Berlin (1958-1963)
Crise de Berlin (1958-1963)

La seconde crise de Berlin constitue la plus longue et l'une des plus dangereuses de celles qui ont émaillé la guerre froide. La construction du mur de Berlin en août 1961 en est l’évènement le plus marquant, mais le maintien de l’équilibre qui s’est installé entre l’Europe de l’Est et l’Europe de l’Ouest dans les années qui ont suivi la guerre, en est son enjeu véritable. Pendant plus de quatre années, cette crise est au cœur de l’action diplomatique et de la stratégie nucléaire des quatre Grands et des deux Allemagnes. Son aboutissement consacre une fois pour toutes le statu quo en Europe jusqu'à l'effondrement du bloc communiste. La crise commence le 27 novembre 1958 avec « l'ultimatum de Khrouchtchev » par lequel le dirigeant soviétique exige des Occidentaux qu'un règlement soit trouvé dans les six mois concernant le statut de Berlin. Dès lors s'amorce une longue période de négociations articulée autour des rencontres de Nikita Khrouchtchev avec Dwight David Eisenhower en 1959 et 1960, puis avec John Fitzgerald Kennedy en juin 1961. Ces trois sommets américano-soviétiques ne se soldent finalement par aucun accord. À la suite de quoi, Khrouchtchev décide avec les dirigeants de la République démocratique allemande de la construction du mur de Berlin (en allemand Berliner Mauer) en août 1961, qui séparera physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, mettant ainsi fin à l'exode croissant des habitants de la République démocratique allemande (RDA) vers la République fédérale d'Allemagne (RFA). Pour autant, Khrouchtchev continue d'exiger la conclusion d'un accord définitif relatif au statut de l'Allemagne et de Berlin. Il souffle le chaud et le froid, alternant propositions de paix et chantage nucléaire. Les tensions sont à leur maximum en octobre 1962, lors de la crise de Cuba, que Kennedy lie directement à Berlin. Finalement, le statu quo qui enracine la RFA au sein du bloc occidental et la RDA au sein du bloc de l'Est, s'installe définitivement début 1963. Si les Occidentaux n'ont cédé en rien aux exigences du Kremlin, cette crise marque cependant la reconnaissance définitive de l'Union soviétique comme grande puissance, disposant de l'arme nucléaire, capable de discuter d'égal à égal avec les États-Unis.

Le Drapeau rouge sur le Reichstag
Le Drapeau rouge sur le Reichstag

Le Drapeau rouge sur le Reichstag (en russe : Знамя Победы над Рейхстагом) est une photographie d'Evgueni Khaldeï prise le 2 mai 1945 sur le toit du palais du Reichstag, à Berlin. Trois soldats de l'Armée rouge y font flotter la bannière de la Victoire, un drapeau de l'Union soviétique, et l'image devint symbole de la fin de la bataille de Berlin et de la chute du Troisième Reich. Retouchée, l'image est sciemment inspirée de Raising the Flag on Iwo Jima, prise trois mois auparavant, en février 1945. Le 1er mai 1945, à 3 h dans la nuit, le drapeau avait été déployé sur la statue équestre du Kaiser Guillaume II, puis déplacé le lendemain sur la coupole de l'édifice, installé par Meliton Kantaria, Mikhaïl Égorov (ru) et Alekseï Bérest (ru). Cependant, la photographie représente les soldats Alekseï Kovalev (ru), Abdoulkhakim Ismaïlov (ru) et Léonid Goritchev. Sur la photographie d'origine, le second soldat porte une montre à chaque poignet. La montre sur son poignet droit est effacée avant que la photographie ne soit rendue publique, pour éviter les accusations de pillage. Le cliché en noir et blanc, parmi les trente-six (une pellicule) pris par Khaldeï, parut le 13 mai 1945 dans le magazine Ogonyok. Le simple drapeau sera retiré du toit à une date imprécise (entre le 5 et le 12 mai), puis surchargé d'inscriptions mentionnant la 150e division d'infanterie le 19 juin, avant d'être expédié le lendemain à Moscou avec son appellation officielle de « Drapeau de la Victoire ».