place

HafenCity Universität (métro de Hambourg)

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en AllemagneArticle géolocalisé sur TerreArticle manquant de références/Liste complèteArticle manquant de références depuis avril 2024
Article utilisant le modèle Dictionnaires inactifArticle utilisant une InfoboxPage avec des cartesStation de la ligne U4 du métro de HambourgStation de métro mise en service en 2012
HafenCity U Bahn Hamburg U4 3877 d3
HafenCity U Bahn Hamburg U4 3877 d3

HafenCity Universität (en allemand : U-Bahnhof HafenCity Universität) est une station de la ligne U4 du métro de Hambourg. Elle se situe dans le quartier de HafenCity, dans l'arrondissement de Mitte.

Extrait de l'article de Wikipedia HafenCity Universität (métro de Hambourg) (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

HafenCity Universität (métro de Hambourg)
Grandeswerder Straße, Hambourg HafenCity

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: HafenCity Universität (métro de Hambourg)Continuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 53.540505 ° E 10.008515 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

HafenCity Universität

Grandeswerder Straße
20457 Hambourg, HafenCity
Allemagne
mapOuvrir sur Google Maps

HafenCity U Bahn Hamburg U4 3877 d3
HafenCity U Bahn Hamburg U4 3877 d3
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Hambourg
Hambourg

Hambourg (/ɑ̃.buʁ/ ; en allemand standard : Hamburg /ˈhambʊʁk/ ou localement /ˈhambʊɪ̯ç/ ; en bas-allemand : Hamborg /ˈhambɔːç/ ), officiellement la ville libre et hanséatique de Hambourg, est une ville et l'un des 16 Länder composant l'Allemagne. Située dans le Nord du pays, près de l'embouchure de l'Elbe et à proximité de la mer du Nord, Hambourg est par sa population la deuxième ville d'Allemagne (après Berlin) et le premier port du pays. Elle est également le troisième port d'Europe quant au volume de marchandises échangées, derrière Rotterdam et Anvers. La ville s'étend sur 755 km2 et compte près de 1,9 million d'habitants. Hambourg était membre fondateur de la Ligue hanséatique. Cette ancienne appartenance est encore aujourd'hui revendiquée par la ville, comme élément caractéristique de son identité. C'est ainsi que le code de la ville sur les plaques d'immatriculation est HH, qui signifie Hansestadt Hamburg. C'est également une ville au tourisme actif, ce qu'elle doit notamment à son architecture, à son réseau de canaux et aux abords luxuriants de l'Alster, rivière formant un lac artificiel au cœur de la ville. Elle présente de très nombreux théâtres et musées, notamment la célèbre Kunsthalle ou le jeune Bucerius Kunst Forum, qui accueille des expositions temporaires. Hambourg dispose d'un quartier entier voué à la vie nocturne : Sankt Pauli et sa Reeperbahn, lieu de toutes les extravagances et libéralités. En 2019, Hambourg a rejoint le mouvement Fab City, suivant l'appel lancé par le maire de Barcelone, Xavier Trias, à ce que toutes les villes du monde deviennent autosuffisantes pour 2054.

Siège de Hambourg
Siège de Hambourg

Le siège de Hambourg se déroule de décembre 1813 à mai 1814, à la fin des guerres de la Sixième Coalition. La garnison française de Hambourg, commandée par le maréchal Davout, y résiste pendant près six mois aux troupes coalisées de la Prusse, de la Russie et de la Suède. Isolé du principal théâtre d'opérations de la campagne d'Allemagne par la défaite du maréchal Oudinot à la bataille de Gross Beeren, le 13e corps du maréchal Davout regagne la région de Hambourg, que les Français ont fortifiée pendant l'été. Après la bataille de Leipzig et la retraite de la Grande Armée jusqu'au Rhin, le soulèvement de la Hollande et l'occupation de Brême par les Russes coupent les communications entre Hambourg et la France. Tout d'abord séparées par les défenses naturelles constituées du bas-cours de l'Elbe et du Bille, la garnison française et l'armée de siège se livrent une guerre psychologique pendant tout le mois de décembre. En janvier, les bras de l'Elbe gèlent et les Russes lancent plusieurs assauts contre la place. Malgré la perte de quelques postes avancés, la garnison française parvient à conserver les positions stratégiques d'Haarbourg et de Wilhelmsbourg. À partir du 23 mars, le dégel marque la fin des assauts et le retour à une guerre psychologique. Lorsque Napoléon Ier abdique le 6 avril 1814, le maréchal Davout tient encore solidement Hambourg. Il refuse de croire au retour des Bourbons jusqu'au 28 avril et continue après cette date à refuser la reddition de la place à son adversaire russe. Début mai, le maréchal est relevé de son commandement et le général Foucher de Careil négocie la restitution de la place tandis que le général Gérard reconduit le 13e corps en France. Celui-ci quitte Hambourg, libre, avec armes et bagages, les 27, 29 et 31 mai 1814. Le maréchal Davout est mis en cause dès le mois de mai 1814 pour sa gestion des relations avec les populations civiles et particulièrement pour la saisie des fonds de la Banque de Hambourg. Bien que rapidement abandonnées, ces accusations ainsi que son ralliement tardif à Louis XVIII vaudront au maréchal une disgrâce qui ne prendra fin qu'au retour de l'Empereur aux Cent-Jours.