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Stade Bollaert-Delelis

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Le stade Bollaert-Delelis (prononcer /bɔ'laʁt dələlis/) est le principal stade de football de Lens, ville du Pas-de-Calais. Construit de 1932 à 1933, il est la résidence du Racing Club de Lens depuis son ouverture, à l'exception de la saison 2014-2015, lors de sa rénovation pour l'Euro 2016. Jusqu'en 2013, le stade pouvait accueillir 41 229 spectateurs, pour une ville de 36 728 habitants, mais pour une aire urbaine de plus de 550 000 habitants. Après rénovation, la capacité d'accueil du stade est passée à 38 223 personnes. Le stade doit son nom à deux hommes importants dans l'histoire du Racing Club de Lens : Félix Bollaert, directeur commercial de la Compagnie des mines de Lens, soucieux de favoriser le développement des clubs sportifs de la région et qui décida la construction du stade en 1931, entre les fosses nos 1 et 9 de la Compagnie, et André Delelis, maire de Lens et ministre du gouvernement Pierre Mauroy, qui « sauva » le stade et l’équipe au moment où, à la fin de l’exploitation charbonnière, les houillères s’en sont dessaisies.

Extrait de l'article de Wikipedia Stade Bollaert-Delelis (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 50.43278 ° E 2.815 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Stade Bollaert-Delelis

Avenue Alfred Maës
62300 Lens
Hauts-de-France, France
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Numéro de téléphone
RC Lens

call+33321132001

Site web
rclens.fr

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linkWikiData (Q854122)
linkOpenStreetMap (268785933)

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Le Centre Hospitalier de Lens, dit "Dr Ernest Schaffner" est un établissement de soin situé au cœur de l'agglomération Lens-Liévin. Il a été certifié par la Haute Autorité de Santé pour 4 ans en 2022 (Certification V2020). C’est l’hôpital le plus important du Pas-de-Calais en termes d’activité et d'effectifs. Il propose, à quelques exceptions près, l’ensemble des spécialités médicales, chirurgicales et obstétricales. Il s’appuie sur un plateau technique conséquent et complet (imagerie, labo, blocs opératoires, consultations, ...), une maternité de niveau 3, et certaines activités généralement limitées aux CHU. Il dispose d’un service d’urgences à très forte activité et reconnu comme centre de recours sur le territoire dans plusieurs domaines. Il est l'établissement support du Groupement Hospitalier appelé "Hôpitaux Publics de l'Artois" qui comprend également le Centre Hospitalier de Béthune Beuvry, le Centre Hospitalier d'Hénin-Beaumont et le Centre Hospitalier de La Bassée. Le 28 avril 1926 était posée la première pierre de l'hôpital. La construction s'acheva en 1934 : la Cité Hospitalière de Lens était créée. Sa capacité d'accueil était de 633 lits. Il n'a cessé de s'agrandir et de s'adapter depuis. Un Nouvel Hôpital est en cours de construction pour une ouverture prévue en 2027. Du fait des nouvelles organisations territoriales prévues par la Loi et mises en œuvre sous l'égide de l'ARS des Hauts de France, ce nouvel hôpital est pensé comme un outil territorial au sein des Hôpitaux Publics de l'Artois. Ceci implique des équilibres avec les autres établissements du GHT.

Fosse no 9 des mines de Lens
Fosse no 9 des mines de Lens

La fosse no 9 dite Saint-Théodore ou Théodore Barrois de la Compagnie des mines de Lens est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Lens. Les travaux du puits commencent en juillet 1884, et la fosse commence à extraire le 1er octobre 1890. Les terrils nos 68 et 68A sont édifiés à l'est de la fosse, le second est un cavalier minier permettant le raccordement avec la gare de Lens. Des cités sont construites au nord de la fosse, ainsi que des écoles primaires et maternelles, et une église, placée sous le vocable de saint Théodore. Une fosse d'aérage no 9 bis est entreprise à 640 mètres au sud-ouest en 1902 et est opérationnelle en 1904, elle est située sur un autre carreau. La fosse et ses cités sont détruites durant la Première Guerre mondiale. Elles sont reconstruites suivant le style architectural des mines de Lens d'après-guerre. La Compagnie des mines de Lens est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Lens ; en 1952, ce dernier fusionne avec le Groupe de Liévin pour former le Groupe de Lens-Liévin. Des cités sont bâties au sud de la fosse. Cette dernière no 9 cesse d'extraire en 1960 à la suite de sa concentration sur la fosse no 11 - 19. Le puits d'aérage no 9 bis est comblé en 1965. La fosse no 9 est entrée d'air, mais en 1976, de nouveaux ventilateurs en provenance sont installés, et la fosse no 9 devient un puits de retour d'air. Le puits no 9, profond de 605 mètres, est remblayé en 1980 et son chevalement est détruit trois ans plus tard. Une zone industrielle prend place sur le carreau de fosse. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise la tête de puits no 9. La zone industrielle est détruite et remplacée par le Louvre-Lens. Les cités ont été rénovées, et les terrils subsistent, bien qu'ils soient discrets dans le paysage. La cité pavillonnaire no 9, l'église Saint-Théodore, l'école, le logement d'instituteur, la maison d'ingénieur et la cité pavillonnaire Jeanne d'Arc ont été inscrits le 30 juin 2012 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.