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Maison de la culture du Japon à Paris

15e arrondissement de ParisArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox OrganisationArticle utilisant une Infobox
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Japan Cultural Center, Paris 2012
Japan Cultural Center, Paris 2012

La maison de la culture du Japon à Paris (ou MCJP, パリ日本文化会館) est située au 101 bis, quai Jacques-Chirac, dans le 15e arrondissement, à Paris. Elle a pour vocation de présenter la culture japonaise aux français. Elle est gérée par la Fondation du Japon dont elle assure la représentation en France.

Extrait de l'article de Wikipedia Maison de la culture du Japon à Paris (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Maison de la culture du Japon à Paris
Rue de la Fédération, Paris Quartier de Grenelle (Paris)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.854722222222 ° E 2.2897222222222 °
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Adresse

Maison de la Culture du Japon

Rue de la Fédération
75015 Paris, Quartier de Grenelle (Paris)
Île-de-France, France
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Numéro de téléphone

call+33144379501

Site web
mcjp.fr

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Japan Cultural Center, Paris 2012
Japan Cultural Center, Paris 2012
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Rafle du Vélodrome d'Hiver
Rafle du Vélodrome d'Hiver

La rafle du Vélodrome d'Hiver, souvent appelée « rafle du Vél'd'Hiv », (aussi orthographiée « rafle du Vel' d'Hiv' » ou encore « rafle du Vél d'Hiv »,,) est la plus grande arrestation massive de Juifs réalisée en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Entre les 16 et 17 juillet 1942, plus de treize mille personnes, dont près d'un tiers d'enfants, sont arrêtées avant d'être détenues au Vélodrome d'Hiver — dans des conditions d'hygiène déplorables et presque sans eau ni nourriture pendant cinq jours —, mais aussi dans d'autres camps. Ils sont ensuite envoyés par trains de la mort vers le camp d'extermination d'Auschwitz. Moins d'une centaine d'adultes en reviendront. À la demande du Troisième Reich, dans le cadre de sa politique d'extermination des populations juives d'Europe, l'État français organise, en juillet 1942, une rafle à grande échelle de Juifs (l'« opération Vent printanier », parallèlement menée par les nazis dans plusieurs pays européens). Ces arrestations sont menées avec le concours de neuf mille policiers et gendarmes français,,, sur ordre du gouvernement de Vichy, après des négociations avec l'occupant menées par René Bousquet, secrétaire général de la Police nationale. À la suite de ces négociations, entamées par Pierre Laval, les Juifs de nationalité française sont temporairement exclus de cette rafle qui concerne essentiellement les Juifs étrangers, ou apatrides, ou déchus de la nationalité française par la loi du 22 juillet 1940, ou encore ceux ayant le statut de réfugié , dont plus de quatre mille enfants, le plus souvent français nés de parents étrangers (et dont aucun ne reviendra des camps de la mort), à l'initiative du gouvernement de Vichy alors que les Allemands n’avaient demandé que les Juifs de plus de 16 ans. Il faut attendre 1995 pour que la France, par la voix du président de la République, Jacques Chirac, reconnaisse, lors d'un discours prononcé devant le monument commémoratif, la responsabilité du gouvernement Français dans cette rafle, et plus généralement dans la persécution et la déportation des Juifs pendant l'Occupation.