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Pont de Bir-Hakeim

Architecture Art nouveau à ParisArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxLigne 6 du métro de Paris
Monument historique dans le 15e arrondissement de ParisMonument historique dans le 16e arrondissement de ParisMonument historique inscrit en 1986Page avec des cartesPatrimoine du XXe sièclePont achevé en 1905Pont dans le 15e arrondissement de ParisPont dans le 16e arrondissement de ParisPont emprunté par le métro de ParisPont en arc en Île-de-FrancePont monument historique à ParisPont sur la Seine à Paris
P1080370 Paris VII XV XVI pont de Bir Hakeim rwk
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Le pont de Bir-Hakeim, anciennement pont de Passy, est un pont parisien franchissant la Seine entre le 15e et le 16e arrondissement, achevé en 1905. Une passerelle construite en 1878 à cet endroit l'avait précédé. Il a été inscrit au titre des monuments historiques, par arrêté du 10 juillet 1986.

Extrait de l'article de Wikipedia Pont de Bir-Hakeim (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Pont de Bir-Hakeim
Port de Suffren, Paris Quartier de Grenelle (Paris)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 48.855556 ° E 2.287778 °
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Adresse

Pont de Bir-Hakeim

Port de Suffren
75015 Paris, Quartier de Grenelle (Paris)
Île-de-France, France
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P1080370 Paris VII XV XVI pont de Bir Hakeim rwk
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Rafle du Vélodrome d'Hiver
Rafle du Vélodrome d'Hiver

La rafle du Vélodrome d'Hiver, souvent appelée « rafle du Vél'd'Hiv », (aussi orthographiée « rafle du Vel' d'Hiv' » ou encore « rafle du Vél d'Hiv »,,) est la plus grande arrestation massive de Juifs réalisée en France pendant la Seconde Guerre mondiale. Entre les 16 et 17 juillet 1942, plus de treize mille personnes, dont près d'un tiers d'enfants, sont arrêtées avant d'être détenues au Vélodrome d'Hiver — dans des conditions d'hygiène déplorables et presque sans eau ni nourriture pendant cinq jours —, mais aussi dans d'autres camps. Ils sont ensuite envoyés par trains de la mort vers le camp d'extermination d'Auschwitz. Moins d'une centaine d'adultes en reviendront. À la demande du Troisième Reich, dans le cadre de sa politique d'extermination des populations juives d'Europe, l'État français organise, en juillet 1942, une rafle à grande échelle de Juifs (l'« opération Vent printanier », parallèlement menée par les nazis dans plusieurs pays européens). Ces arrestations sont menées avec le concours de neuf mille policiers et gendarmes français,,, sur ordre du gouvernement de Vichy, après des négociations avec l'occupant menées par René Bousquet, secrétaire général de la Police nationale. À la suite de ces négociations, entamées par Pierre Laval, les Juifs de nationalité française sont temporairement exclus de cette rafle qui concerne essentiellement les Juifs étrangers, ou apatrides, ou déchus de la nationalité française par la loi du 22 juillet 1940, ou encore ceux ayant le statut de réfugié , dont plus de quatre mille enfants, le plus souvent français nés de parents étrangers (et dont aucun ne reviendra des camps de la mort), à l'initiative du gouvernement de Vichy alors que les Allemands n’avaient demandé que les Juifs de plus de 16 ans. Il faut attendre 1995 pour que la France, par la voix du président de la République, Jacques Chirac, reconnaisse, lors d'un discours prononcé devant le monument commémoratif, la responsabilité du gouvernement Français dans cette rafle, et plus généralement dans la persécution et la déportation des Juifs pendant l'Occupation.