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Maroc British Cemetery

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Cimetière militaire britannique dans le Pas-de-CalaisLieu de mémoire de la Première Guerre mondiale dans le Pas-de-CalaisPage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecture
Maroc British Cemetery 34
Maroc British Cemetery 34

Le Maroc British Cemetery est un cimetière de la Première Guerre mondiale situé à Grenay dans le département français du Pas-de-Calais.

Extrait de l'article de Wikipedia Maroc British Cemetery (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Maroc British Cemetery
Rue Saint-Pierre, Lens

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Rue Saint-Pierre
62160 Lens
Hauts-de-France, France
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Fosse no 5 - 5 bis des mines de Béthune
Fosse no 5 - 5 bis des mines de Béthune

La fosse no 5 - 5 bis de la Compagnie des mines de Béthune est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Loos-en-Gohelle. La fosse no 5 est commencée le 16 avril 1873, le fonçage n'est pas particulièrement complexe, et la fosse peut commencer à produire le 15 mai 1875. Elle est très rapidement productive, et compense la fermeture de la fosse no 4. Le puits no 5 bis est commencé en 1901 à une cinquantaine de mètres du puits no 5. La fosse est détruite durant la Première Guerre mondiale. Lors de la reconstruction, le puits no 5 conserve un chevalement métallique, alors que le puits no 5 bis est équipé d'un chevalement en béton armé. Tous deux assurent l'extraction. De vastes cités sont reconstruites au nord de la fosse, ainsi qu'une église, et le terril conique no 59 prend de la hauteur. La Compagnie des mines de Béthune est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Béthune. Le puits no 5 bis est équipé d'un nouveau rotor en 1955. En 1963, le rabot « Westfalia » est mis en service, le gisement en plateure le permettant. La fosse cesse d'extraire en 1968, après avoir remonté 24 711 000 tonnes de houille. Les puits nos 5 et 5 bis sont remblayés en 1969, les chevalements sont détruits en 1969 et 1970. Le terril est intégralement exploité, les cités sont partiellement détruites. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 5 et 5 bis. Le seul vestige de la fosse est sa grille d'entrée. Les cités ont été rénovées, et le site du terril est devenu un espace vert. L'église Saint Louis est inscrite aux monuments historiques le 9 octobre 2009, et la société de secours mutuels et la maison du médecin-chef le 18 mars 2010. La cité-jardin des Quarante, la cité pavillonnaire no 5, son église Saint-Louis, son prieuré et son école ont été inscrits le 30 juin 2012 sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco.

Fosse no 2 des mines de Liévin
Fosse no 2 des mines de Liévin

La fosse no 2 dite fosse d'Aix ou Calonne de la Société d'Aix puis de la Compagnie des mines de Liévin est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Liévin. Elle est ouverte en tant que fosse d'Aix à partir du 17 mai 1858 par la Société d'Aix a à peine cent mètres au sud de la concession de la Compagnie des mines de Béthune. Elle entre en exploitation le 1er octobre 1859, et malgré une exploitation difficile, la production est fructueuse. Un coron de quarante habitations est construit. Mais la Société d'Aix est déboutée de sa demande de concession en septembre 1862, et c'est la Compagnie de Liévin qui obtient ces terres. La fosse est alors abandonnée peu après, son propriétaire ayant décidé de poursuivre l'exploitation, contre la loi, et cesse le 19 février 1863. Durant les procès et les expertises qui s'ensuivent, la fosse est entretenue au strict minimum. La Compagnie de Liévin rachète la fosse en 1868, et elle est renommée fosse no 2. Un terril no 71, 2 de Liévin, est édifié au nord de la fosse, mais cette dernière cesse d'extraire en 1876. Elle assure alors l'aérage pour la fosse no 1 - 5. La fosse no 2 est reprise en 1904 et forme le 2 - 5 - 5 bis de Liévin avec la fosse no 5 - 5 bis. Des cités sont alors construites autour de la fosse. Le chevalement n'est pas détruit durant la Première Guerre mondiale. Le puits est comblé en 1936, et les installations détruites peu après. La fosse a été sous-utilisée. La Compagnie des mines de Liévin est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Liévin. En 1952, ce dernier fusionne avec le Groupe de Lens pour former le Groupe de Lens-Liévin. Le coron construit par la Société d'Aix est détruit en 1993. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise la tête de puits no 2, et y installe un exutoire de grisou. Un hard-discount Lidl est construit sur le carreau de fosse. Les cités sont pour la plupart rénovées. Le terril n'a pas été exploité et est entièrement boisé.

Fosse no 7 - 7 bis des mines de Béthune
Fosse no 7 - 7 bis des mines de Béthune

La fosse no 7 - 7 bis de la Compagnie des mines de Béthune est un ancien charbonnage du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, situé à Mazingarbe. Le fonçage commence le 4 avril 1875 à l'est de la commune, les travaux avancent sans difficultés, et la fosse est en mesure de produire en mai 1877. Le puits d'aérage no 7 bis est ajouté en 1905 à 420 mètres au sud-ouest du puits no 7, il est doté de ventilateurs en lieu et place d'un chevalement. Des cités sont bâties à proximité de la fosse. Les terrils nos 50 et 50A sont édifiés près de la fosse, le second est un cavalier minier. La fosse est détruite lors de la Première Guerre mondiale. Elle est reconstruite avec un chevalement en béton armé dans le style architectural de la Compagnie de Béthune. Les cités sont reconstruites et étendues. La Compagnie des mines de Béthune est nationalisée en 1946, et intègre le Groupe de Béthune. En 1957, un nouveau ventilateur « Fournier et Bouillon » remplace l'ancien de marque « Guibal » datant de 1910, sur le puits no 7. Le gisement profond de la fosse n'est pas très productif, la fosse ferme en 1965, et son puits no 7 est remblayé la même année. Le puits no 7 bis est remblayé trois ans plus tard. Le terril est partiellement exploité. Au début du XXIe siècle, Charbonnages de France matérialise les têtes des puits nos 7 et 7 bis, et dote le puits no 7 d'un exutoire de grisou. À la fin des années 2000, les maisons des rues Montesquieu, Châteaubriand, et de la Fontaine sont détruites, le reste a été rénové. Les terrils sont des espaces verts.