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Gare de Saint-Ouen-l'Aumône-Liesse

Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxGare dans le Val-d'OiseGare mise en service en 2002
Ligne C du RER d'Île-de-FranceLigne de Saint-Denis à DieppePage avec des cartesSaint-Ouen-l'AumôneTransilien HZone 5 des transports en commun d'Île-de-France
RER C Gare StOuenLiesse
RER C Gare StOuenLiesse

La gare de Saint-Ouen-l'Aumône-Liesse est une gare ferroviaire française de la ligne de Saint-Denis à Dieppe, située dans la commune de Saint-Ouen-l'Aumône (département du Val-d'Oise). Elle se situe à 26,3 km de la gare de Paris-Nord. C'est une gare SNCF desservie par les trains du réseau Transilien Paris-Nord (ligne H) et ceux de la ligne C du RER. La ligne de Pierrelaye à Creil se débranche de la ligne de Saint-Denis à Dieppe peu après la gare, en direction de Pontoise.

Extrait de l'article de Wikipedia Gare de Saint-Ouen-l'Aumône-Liesse (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Gare de Saint-Ouen-l'Aumône-Liesse
Place Montesquieu, Pontoise

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Latitude Longitude
N 49.0342846592 ° E 2.12789079156 °
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Adresse

Voie 1

Place Montesquieu
95310 Pontoise
Île-de-France, France
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RER C Gare StOuenLiesse
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Église Saint-Ouen de Saint-Ouen-l'Aumône
Église Saint-Ouen de Saint-Ouen-l'Aumône

L’église Saint-Ouen est une église catholique paroissiale située à Saint-Ouen-l'Aumône, dans le Val-d'Oise, en France. Elle succède à une chapelle, qui a été bâtie à la fin du VIIe siècle ou au début du VIIIe siècle pour commémorer le passage du cortège funéraire de saint Ouen vers sa ville épiscopale de Rouen, en 686. La chapelle est reconstruite pendant la première moitié du XIIe siècle dans le style roman. Seul le portail occidental en subsiste. Le reste de la chapelle est reconstruite pour une nouvelle fois à partir de la fin du XIIe, et jusqu'au milieu du XIIIe siècle. Les dimensions sont modestes, car Saint-Ouen de Saint-Ouen-l'Aumône n'est pas encore une paroisse jusqu'à l'achèvement de la chapelle, qui devient alors église paroissiale. La nef et les bas-côtés sont voûtés d'ogives pendant la première moitié du XVIe siècle dans le style gothique flamboyant. Les chapelles au nord et au sud de la façade paraissent aussi flamboyantes, mais ne datent que du XIXe siècle. À cette époque, l'église est lourdement restaurée, et si la restauration est heureuse pour le portail, elle reste inachevée dans le transept, et l'chœur gothique est démoli pour être remplacée par une nouvelle structure en 1837. L'église Saint-Ouen n'est donc pas un édifice homogène, mais ses différentes parties s'accordent harmonieusement, et son intérêt archéologique est indéniable. Pour cette raison, elle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques par arrêté du 16 juin 1926. Aujourd'hui, l'église Saint-Ouen demeure le principal lieu de culte catholique de la commune, et sa vie spirituelle est intense avec plusieurs messes en semaine, et des messes dominicales tout au long de l'année.

Assassinat de Samuel Paty
Assassinat de Samuel Paty

L'assassinat de Samuel Paty, aussi désigné comme l'attentat de Conflans-Sainte-Honorine, est une attaque terroriste islamiste perpétrée le 16 octobre 2020 dans la commune française d'Éragny-sur-Oise, située dans le Val-d'Oise. Samuel Paty, professeur d'histoire-géographie, est assassiné par arme blanche et décapité peu après être sorti de son collège de Conflans-Sainte-Honorine. L'assassin, Abdoullakh Anzorov, est un citoyen russe d'origine tchétchène âgé de 18 ans et qui bénéficie du statut de réfugié, accordé à ses parents alors qu'il était mineur. Il est abattu par la police quelques minutes après l'attentat. Dix jours auparavant, Samuel Paty montre deux caricatures de Mahomet issues du journal satirique Charlie Hebdo lors d'un cours d'enseignement moral et civique sur la liberté d'expression avec ses élèves de quatrième. L'enseignant a préalablement demandé aux élèves ne souhaitant pas regarder ces images de sortir de la salle de classe. Cela provoque la colère du père d'une collégienne, lorsque sa fille lui en parle. Celui-ci, ainsi que le militant islamiste Abdelhakim Sefrioui, publient alors sur divers réseaux sociaux des vidéos dans lesquelles ils traitent Samuel Paty de « voyou » et de « malade ». Son nom et l'adresse de l'établissement scolaire où il exerce sont divulgués sur les réseaux sociaux. Les vidéos ainsi diffusées prennent un aspect viral, suscitant de nombreux messages haineux à l'encontre de Samuel Paty, jusqu'à la perpétration de l'assassinat. En novembre 2020, il est établi que la collégienne a menti, qu'elle n'était pas présente au cours incriminé, et que ces vidéos sont donc fondées sur un mensonge. L'assassinat de Samuel Paty provoque de vives réactions, en France et à l'étranger. De nombreuses manifestations populaires sont organisées en mémoire de l'enseignant assassiné ; un hommage national lui est rendu à la Sorbonne le 21 octobre 2020. Une minute de silence est observée dans les établissements scolaires le 2 novembre 2020 et le 15 octobre 2021. À la suite de l'assassinat, le soutien d'Emmanuel Macron aux caricatures provoque également de nombreuses protestations, notamment dans le monde musulman. Le Fonds Marianne, pour soutenir financièrement des associations qui luttent contre les discours haineux et séparatistes, est mis en place par le gouvernement en 2021 à la suite de cet évènement, et devient l'objet d'une affaire politique et financière en 2023.