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Sanctuaire Himegamisha

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Sanctuaire shinto dans la préfecture de Nara
Himegamisha1
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Le sanctuaire Himegamisha (比売神社, , Himegamisha) est un sanctuaire shinto de la ville de Nara dans la préfecture de Nara au Japon. Il a été érigé en 1981 par les habitants du voisinage sur la tombe appelée Hime-zuka (« tombe de la princesse ») estimée être le lieu de sépulture de la princesse Tōchi, une impératrice consort de l'empereur Kōbun. Il s'agit d'un sessha (sanctuaire subsidiaire) du sanctuaire Kagami.

Extrait de l'article de Wikipedia Sanctuaire Himegamisha (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Sanctuaire Himegamisha
中の禰宜道, Nara

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Latitude Longitude
N 34.67542778 ° E 135.84638611 °
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Adresse

比賣神社

中の禰宜道
630-8212 Nara
Japon
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Himegamisha1
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Rouleaux des légendes du mont Shigi
Rouleaux des légendes du mont Shigi

Les Rouleaux des légendes du mont Shigi (信貴山縁起絵巻, Shigi-san engi emaki), aussi traduits en Rouleaux illustrés des antécédents du monastère du mont Shigi ou Légendes du temple du mont Shigi, forment un exemple remarquable de l’emaki, un art pictural japonais dont les bases ont été importées de Chine vers le VIe siècle. Datant approximativement de la fin de l’époque de Heian (XIIe siècle) et réalisés à l’encre de Chine et couleurs sur papier, ils illustrent la biographie romancée du moine Myōren et les légendes qui entourent le monastère bouddhique Chōgosonshi construit sur un versant du mont Shigi (信貴山, Shigi-san), dans l’ancienne province de Yamato. Son classement au titre de trésor national du Japon en 1951 le désigne comme chef-d’œuvre artistique d’une valeur exceptionnelle du patrimoine culturel du Japon et garantit sa conservation et sa protection par l’État japonais. Au-delà de sa valeur artistique, l’œuvre livre un témoignage historique sur la vie quotidienne des gens ordinaires de l’époque de Heian. Les scènes peintes qui se succèdent décrivent des hommes et des femmes au travail, voyageant ou recevant des hôtes. De nombreux détails architecturaux, précisément reproduits, renseignent sur les structures de l’habitat et des lieux saints de l’époque. Associée à des emaki contemporains, tels que le Chōjū-giga et le Ban dainagon ekotoba, cette œuvre picturale témoigne de la grande maturité atteinte par la peinture narrative japonaise au tout début des temps médiévaux.

Hokke-dō
Hokke-dō

Le Hokke-dō (法華堂, lit. « Salle du Lotus »), également appelé Sangatsudō (三月堂, salle du troisième mois) car les cérémonies du Hokke (sūtra du Lotus) y ont lieu au mois de mars, est un grand bâtiment rectangulaire du temple Tōdai-ji à Nara (Japon). Il se trouve à l'emplacement du temple antérieur au Tōdai-ji, le Konshu-ji, fondé en 733 par le moine Rōben. C'est un parfait exemple de l'architecture du début de la période Tenpyō. Sa façade, orientée sud, présente cinq entrecolonnements et les côtés en présentent huit. Il était initialement constitué de salles jumelles (shōdō et raidō) présentant des toits en croupe. Alors que le shōdō, la salle principale, n'a quasiment pas changé, le raidō, quant à lui, a été reconstruit en 1199 et réuni à la salle principale. Le sol, initialement un plancher en bois, a été remplacé par de la terre. Le bâtiment héberge de nos jours un important statuaire en laque sèche creuse et terre séchée de la période Tenpyō. L'œuvre principale qui s'y trouve est le Shukongōshin (porteur de la foudre), statue particulièrement réaliste, en argile crue peinte d'1,74 m. Conservée dans une pièce de l'extrémité nord du Hokke-dō, elle n'est exposée qu'une seule fois par an, ce qui est en partie la raison de son étonnant état de conservation. L'édifice est classé trésor national du Japon depuis 1951, tout comme nombre des statues qu'il abrite.