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Mémorial aux Sintés et aux Roms européens assassinés pendant le nazisme

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Mémorial de BerlinMémorial de la Seconde Guerre mondiale en AllemagnePage avec des cartesPorajmosRépression politique et extermination sous le Troisième Reich
Gedenkstätte Simsonweg (Tierg) Sinti und Roma
Gedenkstätte Simsonweg (Tierg) Sinti und Roma

Le Mémorial aux Sintés et aux Roms européens assassinés pendant le nazisme (allemand : Denkmal für die im Nationalsozialismus ermordeten Sinti und Roma Europas) est un mémorial sur le Simsonweg au sud du Reichstag à Berlin-Tiergarten. Il rend hommage aux 500 000 Roms et Sintés exécutés lors du Porajmos pendant la Seconde Guerre mondiale. Conçu par l'architecte Dani Karavan, il est inauguré la 24 octobre 2012 en en présence de la chancelière Angela Merkel et du président Joachim Gauck. Il est financé par l'État allemand à hauteur de 2,8 millions d'euros.

Extrait de l'article de Wikipedia Mémorial aux Sintés et aux Roms européens assassinés pendant le nazisme (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Mémorial aux Sintés et aux Roms européens assassinés pendant le nazisme
Simsonweg, Berlin Tiergarten

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N 52.517222 ° E 13.376111 °
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Adresse

Denkmal für die im Nationalsozialismus ermordeten Sinti und Roma Europas

Simsonweg
10557 Berlin, Tiergarten
Allemagne
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Gedenkstätte Simsonweg (Tierg) Sinti und Roma
Gedenkstätte Simsonweg (Tierg) Sinti und Roma
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Mur de Berlin
Mur de Berlin

Le mur de Berlin (en allemand : Berliner Mauer, /bɛʁˌliːnɐ ˈmaʊ̯ɐ/ ? Écouter [Fiche]), « mur de la honte » pour les Allemands de l'Ouest, et officiellement appelé par le gouvernement est-allemand « mur de protection antifasciste » (en allemand : Antifachistischer Schutzwall), est érigé en plein Berlin dans la nuit du 12 au 13 août 1961 par la République démocratique allemande (RDA), qui tente ainsi de mettre fin à l'exode croissant de ses habitants vers la République fédérale d'Allemagne (RFA),. Le mur, composante de la frontière intérieure allemande, sépare physiquement la ville en Berlin-Est et Berlin-Ouest pendant plus de vingt-huit ans, et constitue le symbole le plus marquant d'une Europe divisée par le rideau de fer. Plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut, avec un chemin de ronde, entourant intégralement le secteur ouest de la ville sur 155 km, avec 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14 000 gardes, 600 chiens et des barbelés dressés vers le ciel. Un nombre indéterminé de personnes sont victimes des tentatives de franchissement du mur. En effet, durant ces vingt-huit années, des gardes-frontières est-allemands et des soldats soviétiques n'hésitent pas à tirer sur des fugitifs. L'affaiblissement de l'Union soviétique, la perestroïka conduite par Mikhaïl Gorbatchev, et la détermination des Allemands de l'Est qui organisent de grandes manifestations, provoquent le 9 novembre 1989 la chute du mur de Berlin, suscitant l'admiration incrédule du « Monde libre » et ouvrant la voie à la réunification allemande. Presque totalement détruit, le Mur laisse cependant dans l'organisation urbaine de la capitale allemande des cicatrices qui ne sont toujours pas effacées aujourd'hui. Le mur de Berlin, symbole du clivage idéologique et politique de la guerre froide, a inspiré de nombreux livres et films. Plusieurs musées lui sont consacrés.

Le Drapeau rouge sur le Reichstag
Le Drapeau rouge sur le Reichstag

Le Drapeau rouge sur le Reichstag (en russe : Знамя Победы над Рейхстагом) est une photographie d'Evgueni Khaldeï prise le 2 mai 1945 sur le toit du palais du Reichstag, à Berlin. Trois soldats de l'Armée rouge y font flotter la bannière de la Victoire, un drapeau de l'Union soviétique, et l'image devint symbole de la fin de la bataille de Berlin et de la chute du Troisième Reich. Retouchée, l'image est sciemment inspirée de Raising the Flag on Iwo Jima, prise trois mois auparavant, en février 1945. Le 1er mai 1945, à 3 h dans la nuit, le drapeau avait été déployé sur la statue équestre du Kaiser Guillaume II, puis déplacé le lendemain sur la coupole de l'édifice, installé par Meliton Kantaria, Mikhaïl Égorov (ru) et Alekseï Bérest (ru). Cependant, la photographie représente les soldats Alekseï Kovalev (ru), Abdoulkhakim Ismaïlov (ru) et Léonid Goritchev. Sur la photographie d'origine, le second soldat porte une montre à chaque poignet. La montre sur son poignet droit est effacée avant que la photographie ne soit rendue publique, pour éviter les accusations de pillage. Le cliché en noir et blanc, parmi les trente-six (une pellicule) pris par Khaldeï, parut le 13 mai 1945 dans le magazine Ogonyok. Le simple drapeau sera retiré du toit à une date imprécise (entre le 5 et le 12 mai), puis surchargé d'inscriptions mentionnant la 150e division d'infanterie le 19 juin, avant d'être expédié le lendemain à Moscou avec son appellation officielle de « Drapeau de la Victoire ».