place

Vaudherland

Aire d'attraction de ParisArticle avec module Population de FranceArticle avec modèle Infobox Commune de FranceArticle avec une section vide ou incomplèteArticle contenant un lien mort
Article géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxArticle à référence nécessaireCommune dans le Val-d'OisePage avec des cartesUnité urbaine de Paris
Mairie Vaudherland (FR95) 2023 03 11 1
Mairie Vaudherland (FR95) 2023 03 11 1

Vaudherland (autrefois dénommé Vaud'herland) est une commune française du département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Extrait de l'article de Wikipedia Vaudherland (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Vaudherland
Rue de Paris, Sarcelles

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: VaudherlandContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 49.0005555556 ° E 2.48611111111 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Rue de Paris 5
95500 Sarcelles
Île-de-France, France
mapOuvrir sur Google Maps

Mairie Vaudherland (FR95) 2023 03 11 1
Mairie Vaudherland (FR95) 2023 03 11 1
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Goussainville
Église Saint-Pierre-Saint-Paul de Goussainville

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul est une église catholique située à Goussainville, en France. C'est au moins la troisième église sur le même emplacement, édifiée pour l'essentiel entre 1550 et 1564 dans le style de la Renaissance, avec une ornementation particulièrement riche et élaborée pour un petit village rural. Les arcs brisés et les voûtes d'ogives rappellent encore l'architecture gothique, tandis que les chapiteaux, entablements et pilastres sont d'inspiration antique. Le plan est très simple, et ne prévoit qu'un vaisseau central aveugle accompagné de deux bas-côtés, ainsi qu'une petite chapelle, l'ensemble se terminant par un chevet plat. Les travaux sont financés par le seigneur Antoine de Nicolaï, premier président de la Cour des comptes, et sont peut-être dirigés par le maître-maçon Nicolas de Saint-Michel. Il faut encore une dernière campagne de travaux au début du XVIIe siècle pour terminer la reconstruction des murs extérieurs. L'église actuelle conserve encore des éléments de l'église romane tardive et gothique primitive du XIIe siècle, en l'occurrence deux travées du bas-côté sud avec un ancien portail et le premier étage du clocher, profondément remanié. Seulement les bases des piliers de la nef et les parties basses des murs extérieurs des premières travées subsistent de la reconstruction gothique du XIIIe siècle. De la fin du XVe siècle, reste l'étage de beffroi du clocher avec une remarquable décoration flamboyante. L'église est classée monument historique en 1914 et sa crypte en 1940. Elle a été désaffectée au culte à la fin du XXe siècle en raison de son mauvais état, puis en grande partie restaurée entre 2010 et 2013. L'utilisation occasionnelle pour le culte reprend à la fin de l'année 2017.

Église Saint-Éloi de Roissy-en-France
Église Saint-Éloi de Roissy-en-France

L'église Saint-Éloi est une église catholique paroissiale située à Roissy-en-France, en France. Entre 1174 et la fin de l'Ancien Régime, Roissy est un prieuré-cure de l'abbaye Saint-Victor de Paris. Une partie des murs de la nef et du clocher remontent peut-être au Moyen Âge, mais le peu de caractère de ces parties ne permet pas de l'affirmer, et une date au XVIIe ou XVIIIe siècle est plus probable : en effet, l'on n'y trouve aucun élément de modénature ou de sculpture monumentale à l'exception du portail occidental, qui est influencé par le classicisme. La nef est dépourvue de bas-côtés et non voûtée, mais impressionne par ses dimensions. Cependant, seul le chœur et ses collatéraux sont d'un réel intérêt architectural, à la fois pour leur plan et la qualité du décor sculpté du style de la Renaissance. La date de 1574 lisible sur un contrefort indique sans doute l'achèvement, mais l'on ignore tout sur les circonstances de la construction, et la question de l'attribution à un architecte reste toujours en suspens. Dans le vaisseau central du chœur, les ordres ionique et corinthien se superposent, et ont été traités avec une grande liberté d'interprétation du modèle antique. La première et la troisième travée n'ont que la moitié de la profondeur de la seconde travée, ce qui évite la monotonie. Les grandes arcades, les arcs-doubleaux et les arcs d'inscription des voûtes sont toujours en arc brisé, sauf dans la seconde travée, et le voûtement d'ogives lui-même rappelle également l'architecture gothique. Il n'y a pas de fenêtres hautes dans le vaisseau central, mais les fenêtres des collatéraux et les hautes baies de l'abside éclairent suffisamment l'espace. À l'extérieur, le chevet se caractérise par l'harmonie des volumes et ses formes arrondies : des quarts-de-cercle pour les collatéraux, et un hémicycle pour l'abside du vaisseau central. À l'intérieur, le chevet est toutefois à pans coupés. L'église Saint-Éloi a été classée au titre des monuments historiques par arrêté du 13 octobre 1942, mais sa restauration intérieure et extérieure n'est entreprise qu'à partir de la fin du XXe siècle, et a été achevée au printemps 2014. Des messes sont célébrées dans l'église Saint-Éloi le jeudi et samedi soir.

EuropaCity

EuropaCity est un ancien projet de mégacomplexe regroupant des loisirs, des équipements culturels, des commerces, des hôtels et restaurants ainsi qu'un parc urbain et une ferme urbaine, qui aurait pu voir le jour en 2027 sur le territoire du « Triangle de Gonesse », sur la commune de Gonesse dans le Val-d'Oise, le long de l'autoroute A1, entre l'aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle et l'aéroport de Paris-Le Bourget, à la limite de la Seine-Saint-Denis. Présenté comme structurant pour le Grand Paris par ses promoteurs, EuropaCity aurait dû bénéficier d'une desserte par transports en commun envisagée dans un premier temps par une nouvelle antenne du RER D dite barreau de Gonesse (faisant la jonction du RER D et du RER B, jonction abandonnée mais préfigurée par le TCSP Barreau de Gonesse), puis dans un second temps par la ligne 17 du Grand Paris Express avec la station de Gonesse. Le porteur du projet était Alliages et Territoires, filiale de Ceetrus (ex-Immochan), filiale du groupe Auchan, associé au groupe chinois Wanda. EuropaCity constituait un investissement privé de 3,1 milliards d'euros. Le portage de la zone d'aménagement concerté (ZAC) et la gare qui auraient permis l'implantation de ce projet, ses infrastructures, ses réseaux, ses espaces publics, était assuré par l'établissement public d'aménagement (EPA) Plaine de France. Selon l'expert nommé par la Commission nationale du débat public (CNDP), le projet aurait eu un solde positif d'environ 8 000 emplois. Ce nombre est cependant contesté, d'autres experts évoquant une perte d'emplois équivalente par « cannibalisme commercial », due à une offre concurrente pléthorique dans un espace proche. La pertinence et la dimension du projet d'aménagement dans son ensemble (gare, ZAC et EuropaCity) sont contestées depuis l'origine, notamment quant à son impact environnemental et l'artificialisation de terres agricoles qu'il implique et ce malgré l'effort fait par les collectivités du Roissy-Pays de France qui ont sanctuarisé 400 ha de terres agricoles d'un seul tenant dans le Triangle de Gonesse, rendu 600 ha à l'agriculture dans les PLU des communes et épargné 16 000 ha de terres agricoles dans le schéma de cohérence territoriale (SCOT) de la communauté d'agglomération Roissy Pays de France. En novembre 2019, le projet est définitivement abandonné.