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Institut du Temple

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מכון המקדש 2016 1
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L'Institut du Temple (The Temple Institute - מכון המקדש) est un musée et un institut de recherche dédié aux deux Temples de Jérusalem et « au futur Troisième Temple de Jérusalem » qui, selon la tradition juive, sera construit sur le mont du Temple. Créé en 1987 par le rabbin Yisrael Ariel, l'Institut du Temple est situé dans le quartier juif de la vieille ville de Jérusalem près du mur des Lamentations. À l'extérieur de l'Institut du Temple, on trouve une représentation de la Menorah du Temple.

Extrait de l'article de Wikipedia Institut du Temple (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Institut du Temple
طريق باب الأسباط, Jérusalem Vieille ville de Jérusalem

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N 31.7754806 ° E 35.2331 °
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העיר העתיקה בירושלים וחומותיה

طريق باب الأسباط
9119001 Jérusalem, Vieille ville de Jérusalem
District de Jérusalem, Israël
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מכון המקדש 2016 1
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Acra
Acra

L'Acra (en hébreu : חקרא ou חקרה, en grec : Aκρα) est une fortification bâtie à Jérusalem par Antiochos IV, roi de l'empire séleucide, après qu'il a dévasté la ville en 168 av. J.-C. La forteresse a joué un rôle important dans les événements entourant la révolte des Maccabées et la formation du royaume hasmonéen. Elle est détruite par Simon au cours de cette lutte. La localisation exacte de l'Acra, indispensable à la compréhension du Jérusalem hellénique, est débattue en raison de la discordance des sources anciennes et de la difficulté à les faire coïncider avec les découvertes archéologiques. Les historiens et les archéologues ont ainsi proposé divers sites autour de Jérusalem, en se basant d'abord principalement sur des éléments littéraires puis en s'appuyant sur les résultats des fouilles qui commencèrent à la fin des années 60. Les nouvelles découvertes ont suscité une remise en question des anciennes sources littéraires, de la géographie de Jérusalem et des artefacts découverts précédemment. Yoram Tsafrir, un archéologue israélien, avait interprété un joint de maçonnerie dans la coin sud-est dans la plateforme du Mont du Temple comme un indice possible pour la position de l'Acra. Durant les fouilles de Benjamin Mazar en 1968 et 1978, à côté du mur sud du Mont, des éléments pouvant être reliés à l'Acra, comme des pièces semblables a une caserne et une énorme citerne, ont été découverts. En novembre 2015, l'Autorité des antiquités d'Israël annonce la découverte de ce qu'elle considère comme les vestiges de l'Acra lors des fouilles du parking Givati.

Place du Mur occidental
Place du Mur occidental

La place du Mur occidental (hébreu : רחבת הכותל המערבי) ou place du mur des Lamentations selon l'appellation usuelle du Mur en français, est une esplanade du quartier juif de la vieille ville de Jérusalem, établie face au Mur des Lamentations, après la conquête par l'armée de l'État juif du secteur Est de Jérusalem, dès le 7 juin 1967, secteur qui avait été auparavant conquis et géré par le royaume de Jordanie à compter du 14 mai 1948, date de la création de l'Etat d'Israël. Cette place a été créée à la suite de la démolition du quartier marocain, qui a commencé le 11 juin 1967 et qui s'est terminée deux jours plus tard. Le 14 juin 1967, environ 250 000 Israéliens sont pour la première fois sur place, afin de fêter Shavouot. Par décision du conseil des ministres de l'État d'Israël du 26 juin 1967, cette place comme tout l'ancien secteur Est de Jérusalem a été incluse dans le nouveau territoire municipal de Jérusalem. Le nouveau territoire de la municipalité compte dès lors 71 km2 alors qu'auparavant, Jérusalem-Ouest comptait environ 38 km2 et Jérusalem-Est environ 6 km2. Quant à la loi du 30 juillet 1980, elle fait de Jérusalem capitale une et indivisible de l'État hébreu. Le mur des Lamentations borde sur son côté est l'ancien quartier des Magrébins. Côté nord de la place sont situés le tunnel du mur des Lamentations et le musée de la chaîne des Générations. Au sud de la place se situent le parc archéologique de Jérusalem et la porte des Maghrébins (aussi appelée Porte des Immondices, Dung Gate en anglais). À l'ouest de la place se situe le quartier juif.

Émeutes de 1929 en Palestine mandataire
Émeutes de 1929 en Palestine mandataire

Les émeutes de 1929 en Palestine mandataire, également connues sous le nom de Massacres de 1929 ( מאורעות תרפ"ט, littéralement les évènements de 5689 Anno Mundi), ou de la révolte de la Bouraq (ثورة البراق), se réfèrent à une série de manifestations et d'émeutes fin août 1929, qui font suite à un différend de longue date entre arabes et Juifs sur l'accès au Mur des Lamentations à Jérusalem. Pendant la semaine d'émeutes du 23 au 29 août, 133 Juifs ont été tués par les Arabes et 339 autres ont été blessés, tandis que 110 Arabes ont été tués et 232 ont été blessés, la grande majorité par les forces de l’Empire britannique,,,,,. La Commission Shaw du nom du juge britannique Sir Walter Shaw qui la présida, a émis pour opinion dans son rapport que la cause fondamentale « sans laquelle les troubles n’auraient pas eu lieu ou n’auraient été que des manifestations locales est le sentiment d'animosité et d'hostilité des Arabes envers les Juifs qui découlent de la non-réalisation de leurs aspirations politiques et nationales et de la peur pour leur avenir économique ». Cette peur provenant entre autres des réceptions devant les termes de la déclaration de Balfour. Une autre cause majeure est le pressentiment par les Arabes que les nouveaux immigrants juifs soient non seulement une menace pour leur gagne-pain, mais se présentent comme une nouvelle autorité pour l’avenir. Avraham Sela décrit les émeutes comme « sans précédent dans l'histoire du conflit arabo-juif en Palestine, dans la durée, l'étendue géographique et les dommages directs en termes de vies et de biens ».