place

Col des Glières

Article avec une section vide ou incomplèteArticle géolocalisé en FranceArticle géolocalisé sur TerreArticle utilisant une InfoboxAscension cycliste du Critérium du Dauphiné
Ascension cycliste du Tour de France dans les AlpesAscension cycliste du Tour de France en Haute-SavoieAscension cycliste du Tour de l'AvenirCol des Alpes françaisesCol en Haute-SavoieGlières-Val-de-BorneMassif des BornesPage avec des cartes
Domaine Nordique des Glières 2 (20.II.15)
Domaine Nordique des Glières 2 (20.II.15)

Le col des Glières est un col de montagne situé dans les Alpes, en France. Il se trouve au centre du plateau des Glières.

Extrait de l'article de Wikipedia Col des Glières (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Col des Glières
Route des Glières, Bonneville

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Col des GlièresContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.965682 ° E 6.332455 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Mémoire du Maquis

Route des Glières
74130 Bonneville (Le Petit-Bornand-les-Glières)
Auvergne-Rhône-Alpes, France
mapOuvrir sur Google Maps

Domaine Nordique des Glières 2 (20.II.15)
Domaine Nordique des Glières 2 (20.II.15)
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Maquis des Glières
Maquis des Glières

Le maquis des Glières est un mouvement résistant français ayant opéré entre le 31 janvier et le 26 mars 1944, durant l'occupation allemande, sur le plateau des Glières, en Haute-Savoie. Créé par l'Armée secrète, il est commandé par le lieutenant Tom Morel et encadré notamment par des anciens du 27e bataillon des chasseurs alpins d'Annecy. Le maquis se dissout après avoir été encerclé et pourchassé par la Milice et la Wehrmacht. Le récit où près de 500 maquisards auraient été opposés à 12 000 soldats allemands (les maquisards auraient tué 400 Allemands et en auraient blessé 300 ; les soldats allemands auraient tué 100 résistants et en auraient blessé 150) est cependant un mythe (celui de la « première bataille de la Résistance ») forgé par le gaulliste Maurice Schumann pour contrebalancer la propagande de Philippe Henriot sur Radio-Paris, le premier omettant de mentionner que le plateau avait été évacué la veille de l'attaque générale allemande, après un baroud d'honneur, et le second prétendant que la confrontation avait eu lieu uniquement entre miliciens et maquisards. Ce récit a été démythifié en 1975 par l'historien Jean-Louis Crémieux-Brilhac qui a écrit : « Les chiffres de 400 morts et 300 blessés […] sont sans commune mesure avec la réalité des pertes allemandes. […] ils sont empruntés à un télégramme envoyé de France par [le représentant de la France libre, le capitaine Rosenthal, dit Cantinier] ».