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Institut néerlandais

Article géolocalisé en FranceArticle utilisant l'infobox OrganisationArticle utilisant une InfoboxCulture néerlandaiseInstitut culturel étranger à Paris
Organisme d'enseignement des languesOrganisme fondé en 1957Page avec des cartesRelations entre la France et les Pays-Bas
Fondation Custodia 121 rue de Lille 1
Fondation Custodia 121 rue de Lille 1

L'Institut néerlandais est le nom du centre culturel des Pays-Bas en France installé de 1957 à 2013 dans l'hôtel de Lévis-Mirepoix au 121 rue de Lille, dans le 7e arrondissement de Paris. Depuis 2014, l’Atelier néerlandais et le Nouveau centre néerlandais poursuivent la promotion de la langue, culture et industries créatives néerlandaises depuis le troisième étage de cette même adresse.

Extrait de l'article de Wikipedia Institut néerlandais (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Institut néerlandais
Rue de Lille, Paris Faubourg Saint-Germain (Paris)

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Adresse

Institut Néerlandais

Rue de Lille
75007 Paris, Faubourg Saint-Germain (Paris)
Île-de-France, France
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Numéro de téléphone

call+33153591240

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Fondation Custodia 121 rue de Lille 1
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Attentat de l'Assemblée nationale
Attentat de l'Assemblée nationale

L'attentat de l'Assemblée nationale est une attaque à la bombe menée le 9 décembre 1893 à Paris par le militant anarchiste Auguste Vaillant. Agissant en réaction à d'autres événements de l'Ère des attentats (1892-1894), comme l'exécution de Ravachol, le militant prépare minutieusement une bombe et parvient à pénétrer dans les tribunes de l'Assemblée. Il l'envoie ensuite vers les députés, mais est gêné par le bras d'un autre spectateur, ce qui fait échouer sa tentative. La bombe explose, ne tue personne et blesse légèrement un certain nombre de personnes - dont Vaillant lui-même. La session à l'Assemblée se poursuit sans s'interrompre après l'attentat, tandis que Vaillant est arrêté plus tard dans la journée. Bien que l'attentat ne tue aucun député, il illustre l'opposition des anarchistes avec la République française et provoque deux formes d'évolutions. D'une part, le pouvoir politique s'en saisit pour soutenir le vote rapide des deux premières lois scélérates en décembre 1893, la première s'attaquant à la liberté de la presse, créant la catégorie de l'apologie du terrorisme et amputant la présomption d'innocence. La deuxième concerne les associations de malfaiteurs, désormais tout projet terroriste, même si l'acte n'est pas commis, est répréhensible. D'autre part, le vote des lois scélérates et l'exécution de Vaillant ne font qu'accroître la tension de la période, poussant Émile Henry et Désiré Pauwels à commettre leurs attentats pour le venger - étant donné qu'il est devenu un martyr chez les anarchistes. Sadi Carnot, qui refuse de gracier Vaillant, est assassiné quelques mois plus tard. La presse française en particulier Le Petit Journal, s'empare de l'affaire pour délégitimer l'action de l'anarchiste et renforcer la vision républicaine des événements. L'attentat est avec la plupart des autres attentats de l''Ère des attentats l'un des premiers à ne plus s'inscrire dans une symbolique de la personne mais plutôt dans une symbolique des lieux - l'Assemblée nationale étant une cible symbolique remplaçant un humain précis. Cet aspect est devenu important dans le terrorisme moderne depuis lors mais est peu compris par la presse contemporaine.