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Fondation Custodia

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Fondation Custodia 121 rue de Lille 1
Fondation Custodia 121 rue de Lille 1

La Fondation Custodia est créée en 1947 par l'historien et amateur d'art Frits Lugt et sa femme Jacoba Lugt-Klever, pour héberger leur collection de peintures, dessins et estampes. Située au 121 rue de Lille, non loin de l'Assemblée nationale, elle occupe l'hôtel Turgot, hôtel particulier du XVIIIe siècle, et l'hôtel Lévis-Mirepoix, édifié en 1895.

Extrait de l'article de Wikipedia Fondation Custodia (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Fondation Custodia
Rue de Lille, Paris Faubourg Saint-Germain (Paris)

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N 48.86137 ° E 2.31978 °
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Adresse

Institut Néerlandais

Rue de Lille
75007 Paris, Faubourg Saint-Germain (Paris)
Île-de-France, France
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call+33153591240

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Fondation Custodia 121 rue de Lille 1
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Attentat de l'Assemblée nationale
Attentat de l'Assemblée nationale

L'attentat de l'Assemblée nationale est une attaque à la bombe menée le 9 décembre 1893 à Paris par le militant anarchiste Auguste Vaillant. Agissant en réaction à d'autres événements de l'Ère des attentats (1892-1894), comme l'exécution de Ravachol, le militant prépare minutieusement une bombe et parvient à pénétrer dans les tribunes de l'Assemblée. Il l'envoie ensuite vers les députés, mais est gêné par le bras d'un autre spectateur, ce qui fait échouer sa tentative. La bombe explose, ne tue personne et blesse légèrement un certain nombre de personnes - dont Vaillant lui-même. La session à l'Assemblée se poursuit sans s'interrompre après l'attentat, tandis que Vaillant est arrêté plus tard dans la journée. Bien que l'attentat ne tue aucun député, il illustre l'opposition des anarchistes avec la République française et provoque deux formes d'évolutions. D'une part, le pouvoir politique s'en saisit pour soutenir le vote rapide des deux premières lois scélérates en décembre 1893, la première s'attaquant à la liberté de la presse, créant la catégorie de l'apologie du terrorisme et amputant la présomption d'innocence. La deuxième concerne les associations de malfaiteurs, désormais tout projet terroriste, même si l'acte n'est pas commis, est répréhensible. D'autre part, le vote des lois scélérates et l'exécution de Vaillant ne font qu'accroître la tension de la période, poussant Émile Henry et Désiré Pauwels à commettre leurs attentats pour le venger - étant donné qu'il est devenu un martyr chez les anarchistes. Sadi Carnot, qui refuse de gracier Vaillant, est assassiné quelques mois plus tard. La presse française en particulier Le Petit Journal, s'empare de l'affaire pour délégitimer l'action de l'anarchiste et renforcer la vision républicaine des événements. L'attentat est avec la plupart des autres attentats de l''Ère des attentats l'un des premiers à ne plus s'inscrire dans une symbolique de la personne mais plutôt dans une symbolique des lieux - l'Assemblée nationale étant une cible symbolique remplaçant un humain précis. Cet aspect est devenu important dans le terrorisme moderne depuis lors mais est peu compris par la presse contemporaine.