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Monument de Thrasyllos

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Choragic Monument of Thrasyllos 02
Choragic Monument of Thrasyllos 02

Le monument chorégique de Thrasyllos a été élevé à Athènes, sur le flanc sud-est de l'Acropole, au-dessus du théâtre de Dionysos, par le chorège Thrasyllos de Décélie en -320/-319 et par son fils Thrasyclès en -270.

Extrait de l'article de Wikipedia Monument de Thrasyllos (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Monument de Thrasyllos
Περίπατος Ακρόπολης (Νότια κλιτύς), Athènes Πετράλωνα (3η Κοινότητα Αθηνών)

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 37.97102 ° E 23.727695 °
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Adresse

Θέατρο του Διονύσου

Περίπατος Ακρόπολης (Νότια κλιτύς)
117 42 Athènes, Πετράλωνα (3η Κοινότητα Αθηνών)
Attique, Grèce
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Choragic Monument of Thrasyllos 02
Choragic Monument of Thrasyllos 02
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Konstantínos Koukídis
Konstantínos Koukídis

Konstantínos Koukídis (en grec moderne : Κωνσταντίνος Κουκίδης) est un evzone fictif de la Seconde Guerre mondiale. Selon sa légende, au début de l'Occupation, lors de l'arrivée à Athènes de la Wehrmacht le 27 avril 1941, Koukídis, chargé de la garde du drapeau national au sommet de l'Acropole, accepta de remplacer ce drapeau grec par le drapeau nazi à croix gammée comme il en avait reçu l'ordre de sa hiérarchie, mais lorsque les Allemands exigèrent qu'il leur remette le drapeau grec, il refusa, s'enroula de ce drapeau et se jeta du haut de l'Acropole. Koukídis devint ainsi un héros national, « le gardien héroïque du drapeau de l'Acropole » (ο ήρωας φρουρός της Σημαίας στην Ακρόπολη), conté à des générations d'écoliers. Il n'existe toutefois aucune preuve documentaire ni aucun témoin de l'existence de Konstantínos Koukídis et de cette histoire, alors qu'en revanche Manólis Glézos et Apóstolos Sántas ont bel et bien dérobé le drapeau nazi le 30 mai 1941 pour le remplacer par l'étendard grec, et le retentissement de cet acte dans la population a été réel. Mais Glézos et Sántas étant des civils de gauche, la Grèce conservatrice d'après-guerre ne pouvait en faire des héros : selon Barbara Paxinou, historienne au Musée militaire d’Athènes et auteur d'un livre sur les Evzones, le mythe de Konstantínos Koukídis fut inventé de toutes pièces pour remplir ce rôle, et la stèle que l'on voit à son nom aux pieds de l'Acropole, où il est censé être tombé, ne recouvre pas de sépulture.

Parthénon
Parthénon

Le Parthénon — grec ancien : Ὁ Παρθενών / Parthenṓn (à l'origine génitif pluriel de παρθένος / parthénos, nom féminin, « jeune fille, vierge »), littéralement « la salle ou la demeure des vierges » — est un trésor grec,, situé sur l'Acropole d'Athènes, destiné à la conservation d'une sculpture de la déesse Athéna, que les Athéniens considéraient comme la patronne de leur cité. Réalisé entièrement en marbre pentélique, le Parthénon est à la fois un temple et un trésor, au sens antique du terme. Le naos du Parthénon fut conçu pour abriter la statue chryséléphantine de la déesse Athéna Parthénos, œuvre monumentale de Phidias, à laquelle les Athéniens présentaient leurs offrandes. Si le culte rendu à la déesse avait habituellement lieu dans l'ancien temple d'Athéna de l'Acropole, qui abritait un xoanon représentant Athéna Polias, le Parthénon fut spécialement consacré à la déesse Athéna Parthénos, protectrice de la cité et déesse de la guerre et de la sagesse. Mais, concrètement, le Parthénon devait aussi protéger le trésor de la cité. Ce dépôt, composé essentiellement de métaux précieux, était conservé dans l'adyton du temple, regroupant en un même lieu les fonds de la ville d'Athènes et de la ligue de Délos. Les 1 150 kg d'or de la statue d'Athéna pouvaient accessoirement être fondus en cas de nécessité. Symbole architectural de la suprématie athénienne à l'époque classique, le Parthénon est probablement le temple qui a le plus inspiré les architectes néo-classiques de tendance néo-grecque. Il a servi de modèle dans de nombreux pays occidentaux. Ainsi, dans le courant du XIXe siècle, de nombreuses nations occidentales s'en inspirèrent pour héberger leurs institutions politiques — parlements, assemblées ou palais de justice — mais aussi leurs institutions culturelles — bibliothèques, universités ou musées — ou encore leurs institutions financières, comme les sièges de banques ou les bourses.