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Péripatos

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Peripatos Acropolis of Athens
Peripatos Acropolis of Athens

Le péripatos (en grec ancien : περίπατος, « promenade ») est un chemin situé en contrebas de l'acropole d'Athènes, qui part aujourd'hui de la montée de l'acropole et contourne la colline par le nord pour rejoindre l'odéon de Périclès. Il constitue la limite avec les sanctuaires situés sur la pente au-dessus. Sur le côté oriental de l'Acropole, au bord du chemin, une inscription du IVe siècle av. J.-C. indique le nom du chemin et sa longueur de cinq stades et dix-huit pieds, soit environ 1 100 mètres.

Extrait de l'article de Wikipedia Péripatos (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Péripatos
Αρχαίος Περίπατος, Athènes

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 37.97166667 ° E 23.72861111 °
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Adresse

Αρχαίος Περίπατος

Αρχαίος Περίπατος
105 58 Athènes (3η Κοινότητα Αθηνών)
Attique, Grèce
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Peripatos Acropolis of Athens
Peripatos Acropolis of Athens
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Konstantínos Koukídis
Konstantínos Koukídis

Konstantínos Koukídis (en grec moderne : Κωνσταντίνος Κουκίδης) est un evzone fictif de la Seconde Guerre mondiale. Selon sa légende, au début de l'Occupation, lors de l'arrivée à Athènes de la Wehrmacht le 27 avril 1941, Koukídis, chargé de la garde du drapeau national au sommet de l'Acropole, accepta de remplacer ce drapeau grec par le drapeau nazi à croix gammée comme il en avait reçu l'ordre de sa hiérarchie, mais lorsque les Allemands exigèrent qu'il leur remette le drapeau grec, il refusa, s'enroula de ce drapeau et se jeta du haut de l'Acropole. Koukídis devint ainsi un héros national, « le gardien héroïque du drapeau de l'Acropole » (ο ήρωας φρουρός της Σημαίας στην Ακρόπολη), conté à des générations d'écoliers. Il n'existe toutefois aucune preuve documentaire ni aucun témoin de l'existence de Konstantínos Koukídis et de cette histoire, alors qu'en revanche Manólis Glézos et Apóstolos Sántas ont bel et bien dérobé le drapeau nazi le 30 mai 1941 pour le remplacer par l'étendard grec, et le retentissement de cet acte dans la population a été réel. Mais Glézos et Sántas étant des civils de gauche, la Grèce conservatrice d'après-guerre ne pouvait en faire des héros : selon Barbara Paxinou, historienne au Musée militaire d’Athènes et auteur d'un livre sur les Evzones, le mythe de Konstantínos Koukídis fut inventé de toutes pièces pour remplir ce rôle, et la stèle que l'on voit à son nom aux pieds de l'Acropole, où il est censé être tombé, ne recouvre pas de sépulture.