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Église Saint-Jean-le-Théologien d'Athènes

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Ναός Αγίου Ιωάννη του Θεολόγου, Πλάκα 7679
Ναός Αγίου Ιωάννη του Θεολόγου, Πλάκα 7679

L'église Saint-Jean-le-Théologien d'Athènes (en grec moderne : Ναός Αγίου Ιωάννη Θεολόγου / Naós Agíou Ioánni Theológou) est un édifice religieux byzantin situé dans le quartier athénien de Pláka. Imprécisément daté de la fin du XIIe siècle, le monument est dédié à l'apôtre Jean.

Extrait de l'article de Wikipedia Église Saint-Jean-le-Théologien d'Athènes (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Église Saint-Jean-le-Théologien d'Athènes
Πρυτανείου, Athènes

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Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 37.9728 ° E 23.7287 °
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Adresse

Πρυτανείου 7
105 58 Athènes (1η Κοινότητα Αθηνών)
Attique, Grèce
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Ναός Αγίου Ιωάννη του Θεολόγου, Πλάκα 7679
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Konstantínos Koukídis
Konstantínos Koukídis

Konstantínos Koukídis (en grec moderne : Κωνσταντίνος Κουκίδης) est un evzone fictif de la Seconde Guerre mondiale. Selon sa légende, au début de l'Occupation, lors de l'arrivée à Athènes de la Wehrmacht le 27 avril 1941, Koukídis, chargé de la garde du drapeau national au sommet de l'Acropole, accepta de remplacer ce drapeau grec par le drapeau nazi à croix gammée comme il en avait reçu l'ordre de sa hiérarchie, mais lorsque les Allemands exigèrent qu'il leur remette le drapeau grec, il refusa, s'enroula de ce drapeau et se jeta du haut de l'Acropole. Koukídis devint ainsi un héros national, « le gardien héroïque du drapeau de l'Acropole » (ο ήρωας φρουρός της Σημαίας στην Ακρόπολη), conté à des générations d'écoliers. Il n'existe toutefois aucune preuve documentaire ni aucun témoin de l'existence de Konstantínos Koukídis et de cette histoire, alors qu'en revanche Manólis Glézos et Apóstolos Sántas ont bel et bien dérobé le drapeau nazi le 30 mai 1941 pour le remplacer par l'étendard grec, et le retentissement de cet acte dans la population a été réel. Mais Glézos et Sántas étant des civils de gauche, la Grèce conservatrice d'après-guerre ne pouvait en faire des héros : selon Barbara Paxinou, historienne au Musée militaire d’Athènes et auteur d'un livre sur les Evzones, le mythe de Konstantínos Koukídis fut inventé de toutes pièces pour remplir ce rôle, et la stèle que l'on voit à son nom aux pieds de l'Acropole, où il est censé être tombé, ne recouvre pas de sépulture.