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Arsenali Medicei

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Arsenali Medicei Pisa
Arsenali Medicei Pisa

Les Arsenali Medicei, (en français : « Arsenaux médicéens ») est un ensemble de bâtiments du XVIe siècle, consacré à la construction navale, situé le long du Lungarno dans la commune de Pise, en Toscane. Ils devraient accueillir le museo delle navi antiche en 2014. En 1509, les Florentins conquièrent Pise, alors, ville en état de déclin. Dans sa vaste politique de réorganisation territoriale, le nouveau souverain, Cosme Ier de Toscane décide de lui donner le rôle de centre maritime des territoires médicéens avec, entre autres, la mise en service d’un nouvel arsenal. L’édifice est construit pendant les années de pouvoir 1537-1574 de Cosme Ier. L’ensemble est composé de huit longs et hauts corps de bâtiments articulé par autant de nefs aux voûtes adossées sur des pilastres. Dès leur ouverture, les chantiers connaissent un grand essor - avec la production de galères - alimentés par les commandes du port de Livourne et de l'Ordine dei Cavalieri di Santo Stefano. Au XVIIe siècle, son développement est freiné par la construction d’un arsenal concurrent situé à Livourne. Au siècle suivant, son activité perdure grâce à des commandes de privés jusqu'au XIXe siècle, où les arsenaux deviennent le siège d’un haras royal. Durant la Seconde Guerre mondiale, des bombardements aériens touchent toute la zone et détruisent une de ses nefs. Projet de Museo delle navi antiche Citadelle de Pise Présentation de Pisa, Museo Aperto Le site Pisa Live Portail de la culture Portail des musées Portail du monde maritime Portail de la Toscane

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Arsenali Medicei
Lungarno Ranieri Simonelli, Pise Porta a Mare

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Arsenali medicei

Lungarno Ranieri Simonelli
56126 Pise, Porta a Mare
Toscane, Italie
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Arsenali Medicei Pisa
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Tour Sainte-Agnès
Tour Sainte-Agnès

La tour Sainte-Agnès (en italien : Torre di Sant'Agnese), ou la Ghibellina, est l'une des plus anciennes tours médiévales des murailles de Pise, dans la province de Pise en Toscane,. La tour a été construite à la fin du XIIIe siècle à la demande de Frédéric Ier de Montefeltro, principalement avec des matériaux provenant des tours des Guelfes pisans après les émeutes entre Guelfes et gibelins dues aux résultats de la bataille de Meloria en 1284. Elle était défendue par la dénommée Porta dei Lecci qui permettait l'entrée dans la Terzanaia. Au XVe siècle, la tour fut entièrement reconstruite sous la première domination florentine. La tour Sant'Agnese, avec la Torre Canto (incorporée au bastion San Giorgio), la Ghibellina et la Guelfa, délimitaient l'ancienne zone de la Terzanaia (aujourd'hui en grande partie disparue et connue sous le nom de Cittadella), où se trouvait les galères républicaines. Dans le passé, les deux tours Sant'Agnese et guelfe étaient reliées par une muraille démolie ensuite par Cosme Ier de Toscane au milieu du XVIe siècle. La tour est actuellement dans un état de grave détérioration. De structure massive, elle présente un plan carré avec des blocs de pierre sur les angles et des briques pour le reste du corps du bâtiment. Sa fonction militaire signifiait que seules quelques petites ouvertures de formes et de dimensions différentes étaient ouvertes, certaines encadrées de pierres, d'autres avec une architrave rectangulaire ou pentagonale. Vers le sud, il y avait peut-être aussi une galerie suspendue en bois, à laquelle on accédait par un portail encore existant. (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Torre di Sant'Agnese » (voir la liste des auteurs). Ciuti R. (a cura di), Pisa Case Torri, in CD Guide, Pisa, CLD Libri, 1999 (ISBN 88-87748-17-9). Paolo Gianfaldoni, Chiese e Porte nella storia di Pisa, Pontedera, CLD libri, 2007 (ISBN 978-88-7399-199-1). Portail de la Toscane Portail de l’architecture et de l’urbanisme Portail de l’histoire militaire Portail des châteaux

Tour guelfe
Tour guelfe

La Tour guelfe (en italien : Torre Guelfa) est une tour de Pise à la Cittadella, laquelle remonte au milieu du XVe siècle. Elle a été construite pendant la première domination florentine (1406), lorsque toute la zone de ce qui était autrefois les arsenaux de la république de Pise a été rénovée. Le nom a été choisi en contraste avec l'ancienne Tour gibeline, érigée en 1290 dans le coin sud-ouest du quartier et détruite plus tard. La tour avait également pour tâche de permettre l'observation, étant suffisamment haute pour voir la mer et en même temps dominant la ville, étant clairement visible depuis la première moitié du Lungarno, une des rives du fleuve Arno. La tour guelfe, avec la tour Sant'Agnese, la tour Canto (incorporée au bastion San Giorgio) et la tour gibeline, délimitait l'ancienne zone de la Terzanaia (aujourd'hui en grande partie disparue et connue sous le nom de Cittadella), où les galères de la république de Pise étaient construites et réparées. Minée par les Allemands en retraite en juillet 1944, elle est reconstruite après la guerre (1956), sans conserver complètement son aspect d'origine. Aujourd'hui, elle est ouverte au public et permet d'admirer une vue magnifique de son sommet. À l'intérieur étaient placées les anciennes armoiries familiales sculptées des capitaines et des commissaires florentins qui gouvernaient la cité. (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Torre Guelfa » (voir la liste des auteurs). Citadelle de Pise Arsenaux de la République Portail de l’architecture et de l’urbanisme Portail de l’histoire militaire Portail de la Toscane

Église San Paolo a Ripa d'Arno
Église San Paolo a Ripa d'Arno

L'église San Paolo a Ripa d’Arno est un édifice religieux de la ville de Pise, en Italie. L'église est également connue localement comme le « Duomo vecchio » (vieille cathédrale). Elle se situe sur la bordure ouest de la vieille ville de Pise, au sud de la rivière Arno, qui passe à proximité d'elle d'où le nom de « Ripa d'Arno ». L'église est sous le patronage de saint Paul de Tarse. Une première église était présente au même endroit à l'époque carolingienne en l'an 805. Elle est tombée en désuétude et sur ses ruines un nouvel édifice a été construit. En 1092, l'église fut annexée à un monastère des moines vallombrosains et ensuite en 1147 transformée en hôpital. L'édifice a été modifié au cours des XIe et XIIe siècles dans un style similaire à celle du Duomo de Pise et reconsacré par le pape Eugène III en 1148. À partir de 1409, l'ensemble des bâtiments a été donné au cardinal Landolfo di Marramauro, puis en 1552 à la famille Grifoni et, après 1565 à l'Ordre de Saint-Étienne, pape et martyr jusqu'à la construction de leur propre église Santo Stefano dei Cavalieri à la fin du XVIe siècle. En 1798, l'église devint une église paroissiale. Le bâtiment a été endommagé en 1943, en particulier à l'intérieur. La restauration s'est poursuivie de 1949 à 1952, les bâtiments à l'arrière ont été démolis et la petite chapelle de Sant'Agata restaurée. La façade est en pierres romaines de marbre formant des bandes bichrome. La façade, conçue au XIIe siècle, mais terminée au XIVe siècle probablement par Giovanni Pisano, est à deux corps avec pilastres, arcs aveugles, intarsie de marbre et trois ordres de loggias dans la partie supérieure. Le plan intérieur est en croix latine avec une nef et deux bas-côtés soutenus par des colonnes en granit de l'Île d'Elbe, une abside et un dôme au croisement du transept. Il abrite une croix peinte sur bois du XIIIe siècle, des fresques de Buonamico Buffalmacco et une Vierge à l'Enfant et Saints de Turino Vanni (XIVe siècle) ainsi qu'un sarcophage romain du IIe siècle utilisé comme tombeau médiéval. Le bas-relief du sarcophage a été utilisé comme modèle par Nicola Pisano et son élève Arnolfo di Cambio. (it) Roberto Donati, Pisa. Arte e storia, Narni, Plurigraf (de) Heinz Schomann: Kunstdenkmäler in der Toskana, Wissenschaftliche Buchgesellschaft, Darmstadt 1990. (de) Marianne Mehling (Hrsg.): Knaurs Kulturführer – Florenz und Toskana, Droemer Knaur, München 1983 (ISBN 3-426-26079-4). (de) Klaus Zimmermanns: Toscana – Das Hügelland und die historischen Stadtzentren, 9. Auflage, Du Mont Buchverlag, Köln 1986 (ISBN 3-7701-1050-1). (de) Conrad Streit: Florenz – Toskana – Umbrien, Land der Etrusker, Walter-Verlag, Olten und Freiburg im Breisgau 1972 (it)Medioevo.org Portail de l’architecture chrétienne Portail de la Toscane

Citadelle de Pise
Citadelle de Pise

La citadelle de Pise est un vestige d'une fortification située sur les bords de l'Arno, à l'extrémité nord, de l'ancienne enceinte du centre historique de Pise. Des structures d'origine du Duecento, aujourd'hui, subsistent les arches en briques insérées dans le long du mur de défense ainsi que les arches du XIVe siècle colmatées des entrepôts. L'édifice est flanquée d'une tour dite Tour Guelfe, datée du milieu du XVe siècle, détruite durant la Seconde Guerre mondiale, elle est reconstruite à l'identique en 1956. Aujourd'hui, la tour est ouverte au public. Au début du XIIIe siècle, le site de la citadelle se trouve dans la zone des chantiers navals – souhaitée par la république de Pise - comprenant aussi les arsenaux républicains (it) et médicéens. Lors de la première domination florentine, en 1406, les nouveaux seigneurs de Pise transforment définitivement les structures de l'arsenal républicain et réalise dans la foulée ce qui est, alors, appelée la Cittadella Vecchia (vieille citadelle), pour la distinguer de la nouvelle citadelle, construite à partir de 1440, à l'opposé de la muraille fortifiée de la ville. En octobre 2010, la commune de Pise achète l'aire de la citadelle (1,7 million d'euros) - pour une grande requalification urbaine de la zone - où devrait naître un pôle touristique, en 2014, avec le museo delle navi antiche. Tour Guelfe Cittadella Nuova (it) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en italien intitulé « Cittadella di Pisa » (voir la liste des auteurs). Portail de l’architecture et de l’urbanisme Portail de l’histoire militaire Portail de la Toscane

Domus Galilaeana
Domus Galilaeana

La domus Galilaeana est une institution culturelle qui a son siège à Pise en Toscane. Il est situé au no 26 de la rue Santa Maria, dans l'ex Palazzotto della Specola, entre la maison d'Antonio Pacinotti et celle de Gabba. Il ne s'agit pas de la maison natale de Galileo Galilei, qui se trouve proche du tribunal, mais de l'édifice qui dans le passé a accueilli la bibliothèque universitaire et la tour de l'observatoire astronomique (la tour fut démolie dans les premières décennies du XIXe siècle pour cause d'instabilité). L'idée de créer un institut consacré au scientifique pisan est née en 1938 en prévision des célébrations pour le centenaire de la première rencontre des scientifiques italiens, tenu à Pise en 1839. Sur l'initiative de Giovanni Gentile et sous l’égide de la « Société Italienne pour le Progrès de la Science », il est institué à Rome une commission pour identifier les buts et les objectifs de la nouvelle structure. Pise est choisi comme siège social. L'Institut est présenté au public en 1939 dans la salle Magne de l'Université de Pise et obtient ses statuts juridiques d’après une loi de 1941. Son but est de recueillir toutes les publications antiques et modernes concernant Galileo et de coordonner les études sur l'histoire des sciences grâce à d'importants fonds d'archives ainsi qu'à une vaste bibliothèque spécialisée. Depuis 2002, l'institut public s'est transformé en une fondation de droit civil. La domus ne peut pas être vraiment considérée comme un musée bien qu’au cours de son histoire elle ait reçu en dépôt divers instruments scientifiques. Elle a conservé les instruments d'Enrico Fermi, aujourd'hui conservés à Rome et les appareillages d'Antoine Pacinotti maintenant au Museo degli Strumenti per il Calcolo di Pisa, parmi lesquels le premier modèle de moteur à dynamo électrique. En outre, la Domus a préservé de la destruction la CEP Calcolatrice Elettronica Pisana (it), réunie aussi, dans les collections Museo degli Strumenti per il Calcolo. Aujourd'hui, elle abrite une bibliothèque spécialisée en histoire des sciences de plus de 40 000 volumes et d'importantes archives de personnalités scientifiques des XVIIIe et XIXe siècles. Actuellement, les instruments visibles à la domus sont étroitement liés aux fonds d'archives présents y compris ceux conservés pour les expérimentations sur la radioactivité d'Enrico Fermi, les instruments photographiques de l'astronome Pio Emanuelli et quelques machines provenant de l'Institut de Physique-Technique de l'Université de Pise. Pour les scolaires, elle organise périodiquement des parcours didactiques sur les personnages importants de l’histoire de la science de Galileo Galilei aux physiciens du XIXe siècle. (it) Site officiel Portail de la culture Portail des musées Portail de l’histoire des sciences Portail de la Toscane

Jardin botanique de Pise
Jardin botanique de Pise

Le jardin botanique de Pise est une structure didactico-scientifique du département de botanique de l'université de Pise. Le jardin botanique de l'université de Pise fut créé en 1544 sur l'initiative de Luca Ghini, médecin et botaniste d'Imola, avec le soutien financier du grand-duc de Toscane, Cosme Ier de Médicis. C'est le plus ancien jardin botanique du monde, même si sa localisation originale était différente de l'emplacement actuel : le jardin primitif se trouvait en effet près de l'arsenal des Médicis, et s'appelait justement Jardin de l'Arsenal. En 1563, sous la conduite du botaniste Andrea Cesalpino, il fut transféré dans un second emplacement, dans le secteur nord-est de la ville. Ce site ne se révéla pas satisfaisant, tant à cause de sa mauvaise exposition que pour son éloignement de l'université. C'est ainsi qu'en 1591, le jardin fut à nouveau transféré, sous la direction de Lorenzo Mazzanga, dans son site actuel près de la célèbre Piazza dei Miracoli (Place des miracles). Les travaux, dirigés par le Flamand Joseph Goedenhuitze, connu en Italie sous le nom de Giuseppe Casabona furent achevés en 1595, et inclurent aussi la restructuration du bâtiment qui abritait l'Institut de botanique avec son annexe du Musée des Sciences naturelles. L'entrée principale du jardin fut ouverte dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. La disposition des plantes à l'intérieur du jardin, telle qu'elle est représentée sur un plan publié par Michelangelo Tilli en 1723, était inspirée des canons stylistiques communs à beaucoup de jardins de l'époque, avec l'allusion aux quatre éléments : le carré pour la terre, le cercle pour le ciel, le triangle pour le feu et les bassins en référence directe à l'eau. Les espèces étaient en effet disposées dans huit grandes plates-bandes carrées, subdivisées elles-mêmes en sections plus petites de forme géométrique définie, disposées symétriquement autour de huit fontaines avec vasques. Au XIXe siècle, le jardin subit d'importants changements : l'arrangement des grandes plates-bandes, datant du XVIe siècle, fut bouleversé pour laisser la place à des plates-bandes plus petites, de forme rectangulaire, entrecoupées d'allées et de murets, au centre desquelles se trouvaient six fontaines rescapées des bassins originaux. Ces transformations, réalisées en plusieurs étapes par les préfets Gaetano Savi et Teodoro Caruel, reflètent les nouvelles exigences de la botanique qui imposent de classer et de présenter les plantes selon des critères scientifiques qui mettent en évidence les affinités biologiques. À la fin des travaux, on comptait 148 plates-bandes contenant plus de 2 000 espèces disposées dans un ordre systématique. Le plan d'ensemble actuel est atteint vers la fin du XIXe siècle, après une dernière série de modifications et d'agrandissements qui portent à environ 3 hectares la superficie couverte par le jardin. Dans ce secteur, qui reflète encore de nos jours le schéma d'implantation défini au XIXe siècle par les préfets Gaetano Savi et Teodoro Caruel, se trouvent des arbres appartenant aux groupes des conifère et des amentifères. Les deux exemplaires les plus anciens du jardin sont un Magnolia grandiflora et un Ginkgo biloba, plantés en 1787 par le préfet Giorgio Santi. Ils se trouvent en réalité en dehors de ce secteur, dans le jardin nommé « jardin du cèdre ». Elle comprend environ 45 plates-bandes dans lesquelles sont représentées 550 espèces appartenant à 39 familles, disposées selon des critères didactico-systématiques. Ce secteur, appelé « jardin du myrte » (Orto del Mirto) du fait de la présence d'un très ancien exemplaire de Myrtus communis, accueille environ 140 espèces de plantes officinales, dont certaines sont encore reprises dans la pharmacopée officielle comme le ricin (Ricinus communis), la digitale (Digitalis purpurea). Il s'agit d'une collection d'espèces essentiellement autochtones : certaines d'entre elles comme le caltha des marais (Caltha palustris) sont presque éteintes dans la nature, tandis que d'autres, comme l'hibiscus palustre (Hibiscus palustris) et le nénufar jaune (Nuphar lutea) sont fortement menacées par la pollution des eaux et l'assainissement des zones humides. C'est une collection qui comprend des espèces herbacées du bassin de la mer Méditerranée appartenant surtout aux genres Allium, Ornithogalum et Muscari. C'est une collection abritée dans une grande serre qui comprend des Cactaceae, des Euphorbiaceae, des Crassulaceae ainsi que des exemplaires des genres Aloe et Agave, disposées sur la base de critères systématiques et géographiques. (it) Garbari Fabio, Tongiorgi Tomasi Lucia, Tosi Alessandro. Il giardino dei semplici. L'orto botanico di Pisa dal XVI al XX secolo. Pacini Editore, 1991. (ISBN 8877810580) Jardin botanique Liste de jardins botaniques en Italie Université de Pise (it) Site officiel du jardin botanique de Pise - en construction (it) Fiche sur le jardin botanique de Pise - par le Gruppo di Lavoro per gli Orti Botanici e i Giardini Storici della S. B. I. Portail de la botanique Portail du jardinage et de l’horticulture Portail de la Toscane