place

Basilique San Fedele

Article avec une section vide ou incomplèteArticle de Wikipédia avec notice d'autoritéArticle géolocalisé en ItalieArticle utilisant l'infobox MonumentArticle utilisant le modèle Dictionnaires inactif
Article utilisant une InfoboxBasilique en LombardieBasilique romane en ItaliePage avec des cartesPage pointant vers des bases externesPage pointant vers des bases relatives à l'architecturePage pointant vers des bases relatives à la religionPatrimoine du XIIIe siècleÉglise romane à Côme
San Fedele, Como
San Fedele, Como

La Basilique San Fedele (en italien, Chiesa di San Fedele) de Côme est située dans le centre-ville et est dédiée à saint Fidèle de Côme, évangélisateur de la région de Côme et mort martyr pour la foi, à l'époque des persécutions de Dioclétien et Maximien Hercule. Elle est construite sur les lieux d'une première église chrétienne datant du VIIe siècle, dédiée à sainte Euphémie de Chalcédoine. D'importants travaux du chœur roman lombard, inspiré par la chapelle palatine d'Aix-la-Chapelle ont été réalisés par les Maestri comacini, avec une décoration sculpturale comprenant des figures zoomorphes, des monstres, griffons, etc. Le clocher a été reconstruit en 1904 ainsi que la façade (1914).

Extrait de l'article de Wikipedia Basilique San Fedele (Licence: CC BY-SA 3.0, Auteurs, Matériel visuel / Photos).

Basilique San Fedele
Via Vittorio Emanuele Secondo, Côme Sant'Agostino

Coordonnées géographiques (GPS) Adresse Site web Liens externes Lieux à proximité
placeAfficher sur la carte

Wikipedia: Basilique San FedeleContinuer à lire sur Wikipedia

Coordonnées géographiques (GPS)

Latitude Longitude
N 45.809756 ° E 9.084628 °
placeAfficher sur la carte

Adresse

Basilica di San Fedele

Via Vittorio Emanuele Secondo
22100 Côme, Sant'Agostino
Lombardie, Italie
mapOuvrir sur Google Maps

Site web
lombardiabeniculturali.it

linkVisitez le site web

linkWikiData (Q2887102)
linkOpenStreetMap (30565720)

San Fedele, Como
San Fedele, Como
Partager l'expérience

Lieux à proximité

Tombe de Ca' Morta
Tombe de Ca' Morta

La tombe de Ca' Morta est une tombe à char celtique qui se trouve au sein de la nécropole du même nom située à l'ouest de la ville de Côme, région de Lombardie, en Italie. La chambre funéraire recouverte d'un tumulus recèle les cendres d'une femme, d'appartenance princière, accompagnée de mobilier. En raison de l'exceptionnelle qualité des objets qui en ont été exhumés, cette tombe représente un précieux témoignage sur la culture celte de l'époque, en particulier concernant les techniques artisanales, les échanges intra-européens et le rôle des femmes dans la société. Les indices matériels montrent que la défunte est d'origine celte et que le site appartient à la culture italo-celtique dite de « Golasecca », qui, telle celle de Hallstatt, est une culture celtique dans l'Europe du premier âge du fer. Alors que la zone funéraire a commencé à être fouillée à partir de 1891, la tombe, quant à elle, a été découverte en 1928. L'analyse radiocarbone révèle que la fondation de la tombe date approximativement du milieu du Ve siècle av. J.-C. (−450), ce qui permet d'attribuer cette sépulture italo-celtique à la période dite « Golasecca III / GIIIA », et plus précisément au faciès « oriental » de la culture de Golasecca. Les archéologues notent, parmi les artéfacts découverts, un remarquable char à quatre roues. Le véhicule, à vocation rituelle, présente des particularités propres à la « culture de Hallstatt ». L'abondance et le raffinement du mobilier extrait de la sépulture suggèrent qu'il s'agit d'une tombe princière : ces objets affichent tous une haute qualité d'exécution. De nombreux éléments de vaissellerie en bronze laminé d'origine étrusque, ainsi que des céramiques attiques à figures noires ou à figures rouges, évoquent des relations commerciales avec l'Étrurie padane d'une part, et la Grande Grèce et les territoires italiques d'autre part. Parmi ces objets, les archéologues ont exhumé un casque de type Negau, seule pièce d'armement retrouvée dans la tombe. Enfin, de nombreux éléments, sources antiques, épigraphiques et archéologiques, indiquent que la femme, dont les restes incinérés reposent dans l'urne de la « tombe III/1928 », est probablement de souche orobienne, et que sa langue maternelle est le lépontique.